Je n’y connais rien en oiseaux, sauf ceux qui vivent dans mon jardin et ceux que j’observe dans la nature. Mais pour les oiseaux d’ornement, je suis nulle.
Le 18 février j’avais observé aux Jardins de Provence un gros oiseau complètement gris et sans queue.
Je n’avais pas compris qui il était, c’est Marie qui m’avait dit que c’était un paon sans queue pour cause de mue. Et c’était vrai car aujourd’hui, soit 11 jours plus tard, il ressemble vraiment à un paon. Non seulement il a récupéré une magnifique queue mais le plumage sur son corps qui était gris et terne a pris de superbes couleurs, des verts et des bleus. Il a même récupéré une crête de plumes sur la tête. C’est presque la transformation d’une chenille en papillon.
Les photos n’étaient pas faciles, un grillage me sépare de ces beaux oiseaux. Sur la première photo, sa petite femelle est à sa gauche contre le grillage et on devine le faisan doré derrière près du mur.
Sa femelle :
Du nouveau aussi pour le faisan doré. Le couple ne quitte pas la proximité de sa cabane et le mâle y rentre souvent.
Le mâle n’est plus aussi excité sexuellement et nous montre enfin sa tête :
Il part se réfugier dans sa cabane :
La longue queue qui dépasse, c’est la sienne, pas celle de sa compagne :
La petite poule faisane :
Je n’y connais rien en oiseaux, sauf ceux qui vivent dans mon jardin et ceux que j’observe dans la nature. Mais pour les oiseaux d’ornement, je suis nulle.
Le 18 février j’avais observé aux Jardins de Provence un gros oiseau complètement gris et sans queue.
Je n’avais pas compris qui il était, c’est Marie qui m’avait dit que c’était un paon sans queue pour cause de mue. Et c’était vrai car aujourd’hui, soit 11 jours plus tard, il ressemble vraiment à un paon. Non seulement il a récupéré une magnifique queue mais le plumage sur son corps qui était gris et terne a pris de superbes couleurs, des verts et des bleus. Il a même récupéré une crête de plumes sur la tête. C’est presque la transformation d’une chenille en papillon.
Les photos n’étaient pas faciles, un grillage me sépare de ces beaux oiseaux. Sur la première photo, sa petite femelle est à sa gauche contre le grillage et on devine le faisan doré derrière près du mur.
Sa femelle :
Du nouveau aussi pour le faisan doré. Le couple ne quitte pas la proximité de sa cabane et le mâle y rentre souvent.
Le mâle n’est plus aussi excité sexuellement et nous montre enfin sa tête :
Il part se réfugier dans sa cabane :
La longue queue qui dépasse, c’est la sienne, pas celle de sa compagne :
La petite poule faisane :