Raging Bull
Du coup le film alterne des moments purement anecdotiques de la vie quotidienne, avec des combats de boxes filmés comme des opéras. Ce jeu sur les contrastes permet de bien signifier au spectateur que LaMotta, rongé par la culpabilité, est une figure destructrice y compris hors du ring. Mais Raging Bull est surtout au final un commentaire de Scorsese sur ses propres années de défonces qui, à la fin des années 70, l’ont presque laissé pour mort (overdose, coma). La fin de ce film, qu’il pensait comme son dernier, est sa propre rédemption.
Hitokiri le châtiment
Grand film de sabre par Hidéo Gosha, ce qui me permet de rebondir sur une vidéo très chouette en hommage à ce « petit » maitre du cinéma japonais.