Ce qui est sûr, c'est, comme une amie le remarque, qu'une de plus c'est aussi une de moins !
En dehors de cette arithmétique de progression plutôt optimiste mais tristement régulière, pas grand-chose de changé dans le déroulement de mon périple en oncologie, chaque étape ressemble maintenant à la précédente : recluse et k-o une semaine, je récupère suffisamment bien la semaine suivante, et ça recommence !
Les jours qui précédent le jour J à l'hôpital de jour, je me concocte un programme feel-good, pas trop remuant tout de même.
C'est comme ça que la dernière fois, je suis allée écouter des magiciens du jazz swing, Isa et Pierrot (exprès je ne donne pas les noms, vous allez comprendre pourquoi après), dans un très joli endroit bien parisien (germanopratin), généreusement confortable et cosy, pas comme ces clubs aux noms pourtant ensoleillés où l'on est mal assis et obligé de payer l'entrée à chaque set.