Où l'on décide qu'on continuera à bloguer quand ça vaudra vraiment le coup.
Et où l'on s'abstiendra (non sans fierté) de tout jeu de mots sur le titre de ce livre.
Hop.
"J'étais aux abois. Tous les trois mois, mon ventre pas plus épais que du papier à cigarette se remettait à grouiller. Pendant ces jours de jeûne, j'étais d'une humeur de dogue. J'avais du mal à garder le sourire ; tout le monde semblait foncer en première classe vers les horizons de la Grande Société, et moi, je restais sur la touche (…)"
Charles Stevenson Wright, Les Tifs, p. 1…
Charles Stevenson Wright, Les Tifs, p. 1…