Quartz irisé dans le tunnel d’onyx
Où la vue pleine de nuit s’origine,
Une mire épinglée sur un point fixe.
Une croix qui pense et qui en suspend
Au dessus d’un monde perdu s’incline
Mais maintient dans le noir ce qui s’y pend.
Brindilles électriques détachées
D’un centre déréglé par ses fissions.
Filaments magnétiques décrochés
D’une horloge intérieure en dispersion.
N’est qu’un puits d’œil qui ici se balance,
Au revers du mouvement dissolvant,
Contact en une fine résistance,Accroc éternel au tout émouvant.