Le domaine de Fouilloy appartenait à l' abbaye de Corbie, dés l'origine du monastère, comme faisant partie du comté.
Plus tard les religieux, tout en conservant une portion de ce domaine et de la seigneurie, en aliénèrent le reste, pour relever du comté en deux hommages nobles, dont un se nomme fief du Froc et une mairie.
Le fief de la mairie avait pour chef-lieu une grosse tour, dans un héritage situé entre la rue et la rivière du Virot.
La partie inféodé appartint d'abord à une branche de la maison qui prit le nom de
Le chapitre d'Amiens a une partie de la seigneurie, l'autre est passé de la maison de en celles de , puis D'Ailly, puis et enfin d'Estourmel
Voici la liste des successeurs de la seigneurie à travers le temps :
Famille de Fouilloy
Maison de Raineval :
Famille de Hames
Maison d'Estourmel
- Charlotte Louise de Saveuse , fille des précédents, épouse de Philippe de Montmorency en
- Le 30 juin 1718 , ils vendirent 300 journaux de terres et 3 de prés de leur domaine de à l'Hôpital général d'Amiens ,
- l'autre partie passa avec 1726, entre les mains de Françoise Raguet, veuve de François Barré, qui la donna en à son petit fils, Jean-François Palyart.
- En Marie Jeanne Albertine de Palyart d'Aubigny, épouse de François-Joseph de Briois, premier président du conseil provincial d'Artois.
- Avant cette division la seigneurie s'étendait sur 2290 journaux, tant en domaine, que cens, terrage, etc....