Toute ressemblance avec des dictateurs bien connus ne pourrait être que fortuite et le plus pur effet du hasard (qui fait parfois si bien les choses)!
L’histoire ne serait-elle qu’un éternel recommencement: l’homme apprend-il de ses erreurs ou l’expérience acquise n’est-elle qu’un phénomène illusoire, un hochet jeté en pâture à des enfants compulsifs et trop gâtés par l’architecte divin: à vous de voir!
Notre culture commune commence avec la Grèce, berceau de notre civilisation et chacun sait que les mythes ont la vie dure.
Le grand Zeus, puissant roi des cieux et séducteur impénitent, accordait sans compter ses faveurs aux plus belles d’entre toutes les mortelles, en dépit des récriminations de son épouse Héra, la plus jalouse et la moins commode des femmes de ce monde.
L’immortel conquit par un subterfuge Europe « celle aux grands yeux » en prenant l’aspect d’un taureau, pour parvenir à ses fins l’amoureux utilisa ruse et magie, retrouva forme humaine pour honorer l’élue de son coeur, qui semble-t-il, le valait bien.
Aussitôt dit, aussitôt fait, l’épouse trompée sa vengeance voulut exercer dès que son époux repu et satisfait tourna les talons et partit sur l’Olympe se reposer de ses exploits.
La mégère courroucée imagina les pires cataclysmes, saccages et destructions, guerres et invasions des royaumes sans nom avant de remplacer l’objet de son ressentiment par un succédané d’homme bien contrefait c’était plus pratique!
Rien à voir cependant dans cette caricature avec le prince des Dieux, le ci-devant ottoman colérique et difforme qui nous occupe est court sur pattes, mal bâti, front bas, gratifié d’épais sourcils, oeil cruel, regard charbonneux, torve et vicieux à souhait.
Tout ça pour ça, a-t-on envie de dire en ce temps de conflit si mondialisé, Europe se trouva face à la barbarie, aux ténèbres du fanatisme et de l’intolérance, fort dépourvue quand la crise migratoire fût venue!
Elle alla trouver son voisin le priant de patienter jusqu’à l’été, de retenir l’invasion, le flux de sauterelles qui pillaient ses champs et dévoraient ses récoltes.
Que nenni, s’écria l’enturbanné, épouse-moi, sinon point ne le ferai, chaque service se paie au prix fort et comptant, à tes problèmes je ne saurai remédier, à toi de te débrouiller.
Devant les supplications de la belle éplorée, le malfrat cupide exigea en récompense de son aide un salaire de 6 milliards d’Europe, le tout assorti d’une promesse de liberté totale de naviguer dans son empire, avant de se glisser dans sa couche et d’y faire souche!
Le Conseil d’Europe y était favorable et se démenait avec de fallacieux arguments pour convaincre la belle que l’invasion de criquets transgéniques ne pouvait qu’améliorer la situation économique de l’Empire!
La belle n’était pas chaude à l’idée de se plier aux exigences de l’impudent, cela ressemblait trop à une forme de chantage!
A l’heure des marchandages, l’insolence et la corruption avaient force de loi, à l’intérieur, comme l’extérieur sa quiétude était bien troublée par les divisions, la subversion et la rébellion, la démocratie dépérissait face à la montée de l’autoritarisme, de l’intégrisme de tout poil: comment lutter contre la faiblesse et la résignation quand le corps est atteint et les membres n’obéissent plus à la tête, bras et jambes s’embarrassent, le coeur s’embrouille et subit tous les tiraillements les plus contradictoires! Le poison se répand dans les veines et bouche les artères, paralyse et tyrannise toute réflexion!
L’heure était critique, la situation cruciale pour Europe qui cherchait une issue honorable à ses problèmes: ménager la chèvre et le chou, résister ou périr, quelle alternative!
A suivre
Jean-Marie Pieri
*** Attention ce texte est une TRIBUNE LIBRE qui n’engage que son auteur***
Ici à l’Observatoire du MENSONGE, nous aimons la liberté de publier. Ce qui ne veut pas dire que nous approuvons.
BONUS
Je livre au lecteur attentif ces réflexions extraites de l’oeuvre de Chateaubriand « Essai sur les révolutions (2° partie chapitre LV: Quelle sera la religion qui remplacera le Christianisme.)
L’analyse est saisissante, car elle nous présente des faits connus: à chacun de remplir les blancs selon son humeur …
» Peut-on supposer que quelque imposteur, quelque nouveau mahomet, sorti d’Orient, s’avance la flamme et le fer à la main, et vienne forcer les Chrétiens à fléchir le genou devant son idole? La poudre à canon nous a mis à l’abri de ce malheur(*note de l’auteur.)
* Non pas si les gouvernements chrétiens ont la folie de discipliner les sectateurs du Coran. Ce serait un crime de lèse-civilisation que notre postérité, enchaînée peut-être, reprocherait avec des larmes de sang à quelques misérables hommes d’Etat de notre siècle. Ces prétendus politiques auraient appelé au secours de leurs petits systèmes les soldats fanatiques de Mahomet, et leur auraient donné les moyens de vaincre en permettant qu’on leur enseignât l’art militaire. Or, la discipline militaire n’est pas la civilisation; avec les renégats chrétiens pour officiers, les brutes du Coran peuvent apprendre à vaincre dans les règles les soldats chrétiens.
Le monde mahométan « barbare » a été au moment de subjuguer le monde chrétien « barbare »; sans la vaillance de Charles Martel nous porterions aujourd’hui le turban: le monde mahométan « discipliné » pourrait mettre dans le même péril le monde chrétien « discipliné ».Il ne faut pas pour cela autant de temps que l’on se l’imagine: dix ans suffisent pour former une bonne armée, et puisque les Cosaques, sujets du Czar, sont bien venus des murailles de la Chine, les nègres de l’Abyssinie, esclaves du Grand Turc, pourraient très bien venir aussi se réjouir dans la cour du Louvre. »
Cet autre passage (chapitre LVI) me semble bien illustrer la situation présente de notre belle démocratie actuelle.
» Et comment ces assemblées primaires représenteraient-elles le peuple? N’est-ce pas la lie des villes qui se réunit et qui, écartant les honnêtes gens, nomme tel ou tel député, pour une quantité donnée d’assignats? N’est-ce pas de cela même que les représentants prennent le prétexte de se prolonger dans leurs fonctions? En livrant leur république à ces hommes sans moeurs, les gouvernants de France semblent ne chercher qu’une raison légale de la détruire. »
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