Si c'est vrai, voici donc le second chapitre de ce roman du blé bleu et sable bleu, commencé avec Georges Perros et Tony Hillerman.
Retournant le lendemain sur la page de l'article, je remarque que les sites en lien sur la droite, que j'ai rassemblés sous la catégorie Autres sentes (et qui s'actualisent automatiquement sans intervention de ma part), proposent un bel écho à cette éclosion de bleu, comme en témoigne la copie d'écran suivante :
Jacques Josse chronique sur son site Le bleu du ciel est déjà en eux, de Stéphane Padovani, en finissant par ces mots :
Ce passage rapide dans le fantastique aide chacun des personnages de Stéphane Padovani à poursuivre sa route. Ce ne sont pas des perdants. Et pas non plus des battus d’avance. Et encore moins des victimes qui demanderaient que l’on pleure sur leur sort. Ils gardent en eux assez de ressource intérieure, qu’ils vont piocher dans un insoupçonné minerai intime ("ce bleu du ciel" qui "est déjà en eux") pour transcender le présent.S'il est vrai que Richard Gonzalez, dans A part soi, ne sacrifie au bleu que le fond pâle de son beau portrait cubain, le bleu est discrètement mais résolument présent dans l'azul du dernier billet d'Arantelle : Verde-azul-amarillo’ de Gunther Gerzso, 1969.
Au vrai, le bleu (azul) se réduit au petit rectangle en bas à droite. Il en a d'autant plus de force.
Mais déjà je vous annonce un troisième chapitre, toujours sous l'égide du bleu du ciel.