Les floraisons

Publié le 16 juin 2016 par Sambuca

Il pleut toujours. J’espère que le Loing ne va pas de nouveau gonfler, il est déjà  de nouveau en vigilance jaune et cela peut s’aggraver vite, les terres ne peuvent plus rien absorber.

Dans quelques jours c’est l’été alors qu’il n’y a pas eu de printemps, remplacé par la mousson. Je n’ai pas jardiné depuis longtemps, mon âge et mon état de santé ne le permettent pas sous ce déluge. C’est donc plus que jamais la jungle autour de la maison. La plupart des plantes, lianes et arbustes en particulier, qui fleurissent en mai et juin ont développé un feuillage exubérant au détriment de la floraison qui est plus pauvre qu’habituellement et en retard.

Le seul dont la floraison n’a pas souffert, c’est Hydrangea bretschneideri. Il a même encore plus de fleurs qu’en mai :

Cependant, il n’a toujours pas ouvert ses fleurs fertiles comme s’il savait qu’elles ne pourraient être fécondées parce que les insectes sont aux abris.

Le feuillage des actinidias est plus qu’exubérant. Il me semble que c’est au détriment de la floraison mais c’est difficile à affirmer parce que la multitude de grandes feuilles les cache et j’ai eu du mal à trouver celles que j’ai photographiées. Je n’ai trouvé que des fleurs femelles de Actinidia deliciosa

Et des fleurs, nombreuses, de Actinidia melanandra, aussi bien sur le pied-mère noyé dans la végétation de deliciosa que sur ses deux enfants sur les arcades. Ces fleurs sont très avancées, formant toutes déjà un fruit ce qui permet de supposer qu’il y a eu soit des fleurs mâles, soit des fleurs de Jenny, l’hermaphrodite

Un oiseau a trouvé intéressant de cacher son nid dans tout ce feuillage :

Le sureau noir ‘Laciniata’ aussi est débordant de feuillage, il s’est épaissi, élargi, mais la floraison est pauvre :

Son aspect habituel :

Le rosier liane Rosa mulliganii est en retard. Il aura une floraison magnifique car il y a des centaines de boutons mais pour l’instant il n’y a qu’une dizaine de fleurs ouvertes. Ces fleurs parviennent à attirer de minuscules insectes capables d’affronter les intempéries :

Il pleut toujours. J’espère que le Loing ne va pas de nouveau gonfler, il est déjà  de nouveau en vigilance jaune et cela peut s’aggraver vite, les terres ne peuvent plus rien absorber.

Dans quelques jours c’est l’été alors qu’il n’y a pas eu de printemps, remplacé par la mousson. Je n’ai pas jardiné depuis longtemps, mon âge et mon état de santé ne le permettent pas sous ce déluge. C’est donc plus que jamais la jungle autour de la maison. La plupart des plantes, lianes et arbustes en particulier, qui fleurissent en mai et juin ont développé un feuillage exubérant au détriment de la floraison qui est plus pauvre qu’habituellement et en retard.

Le seul dont la floraison n’a pas souffert, c’est Hydrangea bretschneideri. Il a même encore plus de fleurs qu’en mai :

Cependant, il n’a toujours pas ouvert ses fleurs fertiles comme s’il savait qu’elles ne pourraient être fécondées parce que les insectes sont aux abris.

Le feuillage des actinidias est plus qu’exubérant. Il me semble que c’est au détriment de la floraison mais c’est difficile à affirmer parce que la multitude de grandes feuilles les cache et j’ai eu du mal à trouver celles que j’ai photographiées. Je n’ai trouvé que des fleurs femelles de Actinidia deliciosa

Et des fleurs, nombreuses, de Actinidia melanandra, aussi bien sur le pied-mère noyé dans la végétation de deliciosa que sur ses deux enfants sur les arcades. Ces fleurs sont très avancées, formant toutes déjà un fruit ce qui permet de supposer qu’il y a eu soit des fleurs mâles, soit des fleurs de Jenny, l’hermaphrodite

Un oiseau a trouvé intéressant de cacher son nid dans tout ce feuillage :

Le sureau noir ‘Laciniata’ aussi est débordant de feuillage, il s’est épaissi, élargi, mais la floraison est pauvre :

Son aspect habituel :

Le rosier liane Rosa mulliganii est en retard. Il aura une floraison magnifique car il y a des centaines de boutons mais pour l’instant il n’y a qu’une dizaine de fleurs ouvertes. Ces fleurs parviennent à attirer de minuscules insectes capables d’affronter les intempéries :