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"La compositrice, auteure et interprète appréhende les choses de la sorte : en toute liberté (...)
D'abord, on est scotchés par la voix qui a pris - à force de travail et de cours de chant - une sacrée amplitude (...)
Puis on découvre avec bonheur les mélodies subtiles, terriblement « brunesques », ce grain de voix inimitable et des textes d'une extrême finesse et d'une redoutable drôlerie, évoquant l'amour, ses délices et ses situations sensuelles. Chansons habilement et richement habillées par Blanc-Francard, ici réalisateur de génie, qui ouvre les grand-voiles aux chansons de Carla et les déploie magnifiquement (...)
L'amoureuse, premier single, est une totale réussite, où elle clame sa vraie nature de femme qui aime. (...)
En filigrane, toujours, une hyper- conscience du temps qui passe, ne laissant guère de temps aux faux-semblants et autres fâcheries de bas étage, avec cette mort, inévitable. En filigrane, une rare élégance. (...)
Après une seule écoute, il nous tarde à présent de pouvoir le réentendre, à sa sortie, le 21 juillet. Et de se le passer en boucle, comme un grand vent de liberté qui s'apprête à balayer tout l'été. C'est si bon à écouter, une femme libre !"
(La voix du Nord - Le Post Guy Birenbaum)
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" L'album "révèle la maturité d'écriture et d'interprétation d'une chanteuse désormais hors normes".
"Un disque parfaitement réussi. On y retrouve les sortilèges d'une voix fragile et dense, le sens mélodique très singulier d'une compositrice à la confluence des évidences folk et du lyrisme français, mais dans des arrangements d'une richesse élaborée par Dominique Blanc-Francard, grand arbitre des élégances pop".
Sur le titre polémique «Tu es ma came» : "Une brillante introduction à la guitare acoustique de Freddy Koella, une chanson au texte tendre et franchement drôle, sans aucun souci d'éventuels fronts plissés au Quai d'Orsay".
"Fondamentalement, ce que chante Carla Bruni de titre en titre, c'est encore, toujours et perpétuellement sa liberté".
Sur «Une enfant» : "Une enfant est un des sommets de cet album : des mots d'une touchante impudeur sur un lied de Schumann auquel Dominique Blanc-Francard a donné des couleurs de slow de l'été des années 1970".
"Cette voie de liberté crâneuse et opiniâtre, cette obstination à avancer vent debout reviennent de chanson en chanson".
"La mélodie magnifique qu'elle a écrite sur «La Possibilité d'une île» de Michel Houellebecq, la profondeur de «Péché d'envie» (coécrit avec Raphaël Enthoven, le père de son fils), le texte bouleversant de «Déranger les pierres» (sur une mélodie de Julien Clerc [...]), l'entrain étourdissant de «L'Amoureuse» (qui sera le premier single), tout cela est porté par une écriture musicale et poétique plus sûre d'elle qu'elle l'a jamais été".
"Ce disque qui paraîtra dans quarante jours est ce que la critique appelle un album de la maturité. Le bel album d'une belle maturité".
(Le Figaro.fr)
Moi, je n'ai pas besoin d'ennemi* , j'ai Paulo....
Carla n'a pas besoin d'amis, elle a les journalistes français....
Je finis cette note sans macaron café ni culotte en dentelle, par une ma plus belle Ola (à qui cela fait une belle jambe, je suis d'accord) à Denis RObert, vrai journaliste d'investigations....
parce qu'il faut bien en convenir dans notre beau pays des droits de ...etc...etc,
rien n'a changé depuis La Fontaine, "selon que vous serez puissant ou misérable.",
bordel de ta race !!!!! (je suis vulgaire, je sais)
(comme un mauvais roman d'espionnage au fin fond d'un goulag Russe, où le héros avant de disparaitre pour toujours, hurle en vain "non, non je ne suis pas fou, écoutez-moi !!!)
(* ma note de dimanche)
Pour le reste, tout est une juste une question d'espace entre les jambes et par Toutatix,
mon royaume pour un plat de lasagnes....
(photo sponsorisée par Notify)