Rosa mulliganii

Publié le 26 juin 2016 par Sambuca

L’an dernier encore il formait une arche impressionnante au-dessus du chemin d’entrée soutenue par une puissante aubépine rouge.

Rosier et aubépine ont été saccagés l’été dernier par les ouvriers qui ont refait le toit de la maisonnette du voisin. Pourtant l’ensemble était loin de la maisonnette qui n’était là que grâce à une autorisation écrite de ma part. Il parait que cela les gênait dans leurs mouvements !

L’aubépine est bien repartie, surtout en épaisseur mais a peu fleuri. Le rosier est plus vigoureux que jamais, je vois des fleurs jusqu’à 6m de haut dans le grand chêne, et sa floraison est presque aussi intense qu’avant la catastrophe. Une vraie force de la nature.

Ce rosier liane, sans doute un des plus puissants, fait partie de la section Synstylae à l’organisation particulière des carpelles. Il est invincible. Chez moi il supporte la sécheresse et la pauvreté du sable et résiste aux racines d’un chêne d’au moins 100 ans contre lequel il est planté, un support digne de lui.

La caractéristique  des rosiers de la section Synstylae, c’est la fusion des styles formant une colonne centrale de la longueur des étamines :

A l’arboretum des Grandes Bruyères, Rosa longicuspis avec lequel il est souvent confondu :

L’an dernier encore il formait une arche impressionnante au-dessus du chemin d’entrée soutenue par une puissante aubépine rouge.

Rosier et aubépine ont été saccagés l’été dernier par les ouvriers qui ont refait le toit de la maisonnette du voisin. Pourtant l’ensemble était loin de la maisonnette qui n’était là que grâce à une autorisation écrite de ma part. Il parait que cela les gênait dans leurs mouvements !

L’aubépine est bien repartie, surtout en épaisseur mais a peu fleuri. Le rosier est plus vigoureux que jamais, je vois des fleurs jusqu’à 6m de haut dans le grand chêne, et sa floraison est presque aussi intense qu’avant la catastrophe. Une vraie force de la nature.

Ce rosier liane, sans doute un des plus puissants, fait partie de la section Synstylae à l’organisation particulière des carpelles. Il est invincible. Chez moi il supporte la sécheresse et la pauvreté du sable et résiste aux racines d’un chêne d’au moins 100 ans contre lequel il est planté, un support digne de lui.

La caractéristique  des rosiers de la section Synstylae, c’est la fusion des styles formant une colonne centrale de la longueur des étamines :

A l’arboretum des Grandes Bruyères, Rosa longicuspis avec lequel il est souvent confondu :