Ce matin, réveillée à 5h30 par un pipi pressant puis recouchée, j’entends crier un chat qui veut rentrer. Je me dis « ouf, les miens sont en sécurité au chaud, ils ne se feront par attaquer par cet excité ».
A 7h30 le chat crie toujours et je me dis que ses maîtres sont vraiment pas sympas de le laisser dehors.
A 8h30, je vais me laver les cheveux, le corps, les dents : il crie encore et là le doute m’assaille : « c’est pas un chat à moi quand même ? ».
A 9h10 je descends et je n’entends pas Iguaï m’appeler, comme d’habitude, bizarre, j’ouvre la porte de la salle à manger et il m’attend, ouf ouf ouf.
C’est là que j’entends hurler Praline à mort, dehors, derrière la porte de la cuisine… C’est donc elle qui était dehors depuis 17h30 la veille, quand je suis partie au Mykonos, resto grec que j’adore, première fois que j’y allais depuis mon retour (mezzé et desserts grecs miaaaaaaaaam). Et pour avoir de la voie, elle en a, elle a dû empêcher tous les voisins de dormir (ça me rappelle quand mes chats n’étaient pas limités à la cour par un filet et que j’avais été la rechercher sur un toit dont elle ne savait redescendre, alertée par des voisins adorables, alors que toute la rue croyait entendre hurler un bébé tant elle criait).
J’ai couru très vite à la porte (donc à 5 km heure) lui ouvrir, elle est rentrée dare dare en hurlant, elle a mangé et depuis elle me fait pleins de câlins en ronronnant de bonheur.
Vilaine bipède… (j’espère qu’elle a dormi sur le beau coussin dans son tout nouveau panier).
le corps d'Iguaï, la queue de Praline, sur moi pour un câlin
Ce matin, réveillée à 5h30 par un pipi pressant puis recouchée, j’entends crier un chat qui veut rentrer. Je me dis « ouf, les miens sont en sécurité au chaud, ils ne se feront par attaquer par cet excité ».
A 7h30 le chat crie toujours et je me dis que ses maîtres sont vraiment pas sympas de le laisser dehors.
A 8h30, je vais me laver les cheveux, le corps, les dents : il crie encore et là le doute m’assaille : « c’est pas un chat à moi quand même ? ».
A 9h10 je descends et je n’entends pas Iguaï m’appeler, comme d’habitude, bizarre, j’ouvre la porte de la salle à manger et il m’attend, ouf ouf ouf.
C’est là que j’entends hurler Praline à mort, dehors, derrière la porte de la cuisine… C’est donc elle qui était dehors depuis 17h30 la veille, quand je suis partie au Mykonos, resto grec que j’adore, première fois que j’y allais depuis mon retour (mezzé et desserts grecs miaaaaaaaaam). Et pour avoir de la voie, elle en a, elle a dû empêcher tous les voisins de dormir (ça me rappelle quand mes chats n’étaient pas limités à la cour par un filet et que j’avais été la rechercher sur un toit dont elle ne savait redescendre, alertée par des voisins adorables, alors que toute la rue croyait entendre hurler un bébé tant elle criait).
J’ai couru très vite à la porte (donc à 5 km heure) lui ouvrir, elle est rentrée dare dare en hurlant, elle a mangé et depuis elle me fait pleins de câlins en ronronnant de bonheur.
Vilaine bipède… (j’espère qu’elle a dormi sur le beau coussin dans son tout nouveau panier).
le corps d'Iguaï, la queue de Praline, sur moi pour un câlin