La fiabilité des usa existe-t-elle encore ?

Les dernières nouvelles concernant l’investigation de Mme Hilary Clinton par le FBI concernant ses e-mails et la prompte dé recommandation de cette institution de poursuivre la candidate aux présidentielles des USA sont pour le moins que l’on puisse dire des plus suspectes.
« La candidate démocrate à la Maison-Blanche, Hillary Clinton, a utilisé une messagerie privée pour envoyer des emails contenant des informations confidentielles, a indiqué le directeur du FBI lors d’une conférence de presse. Le responsable a fait savoir que le dossier d’enquête sur ces emails avait été transmis à la justice et précise qu’Hillary Clinton n’a pas eu l’intention de violer la loi mais a été « négligente ».
D’après le FBI, des personnes mal intentionnées ont pu avoir accès à ces emails. Le service fédéral déconseille toutefois de poursuivre la candidate. En réaction, le candidat républicain Donald Trump sur Twitter a jugé que le système était « pourri » et a dénoncé un « mauvais jugement ». De son côté, le speaker des républicains au Congrès a parlé d’un « terrible précédent ».
Lors d’une conférence de presse organisée ce mardi, le directeur du FBI a précisé qu’« aucun procureur raisonnable ne poursuivrait Hillary Clinton en justice ».
La candidate démocrate avait été entendue par le FBI le samedi matin, dans le cadre de l’enquête sur son utilisation d’une messagerie privée lorsqu’elle était secrétaire d’État, afin de déterminer si elle avait ou non violé la loi fédérale. (Le figaro)
À cela ajoute David Horowitz de FrontPage magazine :
Le conspiration politique la plus effrayante
Nous avons assisté aujourd’hui à la plus effrayante expression de la corruption de notre système politique. Doublement effrayante en raison de ce qu’elle augure sur l’avenir des USA si Hillary Clinton remporte les élections de novembre. Au centre de cette corruption – mais pas les seul – sont les funestes Clintons – Bonnie and Clyde de la politique américaine – et leurs alliés du Parti démocratique, sans omettre également de mentionner les facilitateurs républicains qui préfèrent se battre entre eux et apaiser leurs adversaires que gagner les guerres politiques.
Nous savions qu’ils sont capables d’acheter le ministère de la Justice. Nous soupçonnions leur capacité de soudoyer le FBI. Ce que nous ignorions est que ces arrangements soient si transparents : La rencontre secrète avec un responsable principal et avec le chef du Département de Justice. Puis s’ensuivit l’annonce au lendemain du juge que les enquêtes concernant la corruption de Clinton seraient reportées jusqu’après les élections. L’exposé boiteux de l’interrogatoire du FBI de l’ancienne secrétaire d’État qui, tout au long de son mandat avait imprudemment violé les protocoles de la sécurité nationale, supprimé 30.000 e-mails, brûlé ses horaires de gouvernement, mis des informations secrètes sur un serveur piratable en violation de la loi fédérale. Et pour couronner, l’échec du directeur du FBI, qui après avoir énuméré ses actes irresponsables, de recommander une poursuite – le tout en une seule semaine, et juste à temps pour la convention de mise en candidature des démocrates. C’était, en fin de compte, la conspiration la plus stupéfiante de l’histoire américaine.
Et il ne s’agit pas d’une corruption criminelle ordinaire. C’est le genre de corruption qui affecte la sécurité de la nation par des individus et un régime qui ont viré le Moyen-Orient aux mains de terroristes islamiques, ont permis à l’Iran, ennemi principal de l’Amérique dans la région, de devenir une puissance dominante, permis aux Saoudiens, profondément impliqués dans les attentats du 9/11, de couvrir leurs crimes et de propager des doctrines islamiques de haine aux États-Unis. C’était aussi la vente de notre politique étrangère aux plus offrants de maison et de l’étranger, et faire de l’Amérique un pays vulnérable à ses ennemis.
Que faudrait-il faire ? Tout d’abord, il faut déterminer en qui vous avez foi – les élites politiques qui vous disent que tout va bien ou vos yeux menteurs ? Le système politique est corrompu et ne peut pas nettoyer sa propre maison. Ce qui est nécessaire c’est une force politique externe qui va devoir entamer le travail en donnant la priorité à nouveau aux intérêts de notre pays. Appelez cela comme cela vous convient – nationalisme ou bon sens – à l’heure actuelle, c’est la démarche la plus urgente pour le pays. Une telle force pourrait trouver son soutien en dehors de Washington. Appelez-le populisme ou démocratie – aucun dirigeant réformateur ne peut être élu sans cela. Aucun leader politique ne peut commencer à accomplir cette tâche, sans le soutien des américains ordinaires inscrits à la boîte de scrutin.
La libellule : Un vrai Marché aux puces – Croyez-vous sérieusement que les USA pourront se relever après les coups bas qu’Obama leur a assénés ?

THÉRÈSE ZRIHEN-DVIR

*** Attention ce texte est une TRIBUNE LIBRE qui n’engage que son auteur ***
Ici à l’Observatoire du MENSONGE, nous aimons la liberté de publier. Ce qui ne veut pas dire que nous approuvons.

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