Un peu de pub copinage, mais du copinage de haut-vol : en librairie vient de sortir "Yama Loka Terminus", de Léo Henry dit "l'homme qui chantait Sardou" et Jacques Mucchielli dit "l'homme qui a vu l'homme qui chantait Sardou".
Le mot de l'éditeur, l'Altiplano, au sujet de l'ouvrage :
Yama Loka Terminus parle de l’irréductible facteur humain, de la vie qui s’immisce dans les lieux les plus invivables et des touffes de mauvaise herbe qui défoncent les macadams laissés à l’abandon. Il est composé de témoignages, de récits, d’aveux. Chaque narrateur est un être normal, un être réel, un héros. Yirminadingrad, malgré son outrance, existe bel et bien. La guerre, la folie, la violence des institutions et des relations humaines dépassent les frontières de la cité, et celles du livre. On trouve des fantômes et des dieux jusque dans nos propres vies. Rien n’a été inventé, seuls quelques noms ont été changés.
A noter aussi un site web assez barré qui vous immergera dans l'univers de ces nouvelles : Le site Yirminadingrad
Le genre de concept que j'aime.