La guêpe, par l’odeur de la bonne viande alléchée (et je la comprends, du bon agneau bio élevé avec amour à la limite de la Gironde et de la Dordogne), la guêpe, disais-je, envisagea de se tailler une tranche de gigot. Mais l’affaire ne fut point simple. La viande pèse son poids. Le morceau est gros. Mais cela a l’air si bon …
Alors la guêpe rusa. Elle prit appui sur un couteau proche, qui pour elle ressemblait à une gigantesque enclume. Elle appuya, elle força, elle gagna et dégusta.
Photos prises sur l’île d’Oléron pendant l’été 2016