Magazine Journal intime

11/9/2016 : opération bis

Publié le 11 septembre 2016 par Anaïs Valente

J’ai donc été opérée pour la deuxième fois et comme je l’ai dit, si ça avait été la première fois, j’aurais été moins zen pour la seconde. Tout bien réfléchi, l’après fut plus chouette, vu que le jour de l’opération au soir j’étais en pleine forme, on m’a même demandé si l’anesthésiste m’avait injecté quelque chose, genre gaz hilarant… je devais me sentir super soulagée. Et le lendemain, j’étais chez Trafic. En pleine forme je vous dis, mais faut relativiser la chose of course, « en pleine forme » en 2016 ne correspond pas à « en peine forme » en 2013, physiquement parlant.

Masi l’opération, avant et après (passque pendant, je faisais dodo) fut plus difficile que la première fois. Pas point de vue douleur, non, mais point de vue angoisse. Je n’ai pas eu de pré narcose, ce qui m’avait permis de quitter ma chambre et d’y revenir endormie. Ici, je suis arrivée en salle d’hop totalement réveillée, j’ai même causé avec le médecin, lui expliquant que j’avais rencontré une journaliste qui le connaissait et qu’à l’hosto on entendait sans cesse du bien de lui, sympa. Puis j’ai respiré dans un masque ce que je croyais être de l’anesthésiant (l’anesthésiant était dans l’intraveineuse, là c’était de l’oxygène), je respirais, je respirais et je ne m’endormais pas, j’allais dire « je ne dors pas » quand je me suis endormie.

Le pire fut le réveil en salle de réveil. Les infirmières étaient adorables, mais j’avais encore un masque pour respirer, j’avais le nez bouché, j’avais les yeux opérés et plein de trucs gluants et en plus je n’avais pas mes lunettes, donc je ne voyais vraiment rien. Et ce fut long, mais long. Quand j’ai entendu « remplis son retour en chambre », j’aurais pu danser. Mais en chambre ce fut long, mais long, d’autant que je devais tout le temps faire pipi. Je ne comprenais pas

**************à suivre

J’ai donc été opérée pour la deuxième fois et comme je l’ai dit, si ça avait été la première fois, j’aurais été moins zen pour la seconde. Tout bien réfléchi, l’après fut plus chouette, vu que le jour de l’opération au soir j’étais en pleine forme, on m’a même demandé si l’anesthésiste m’avait injecté quelque chose, genre gaz hilarant… je devais me sentir super soulagée. Et le lendemain, j’étais chez Trafic. En pleine forme je vous dis, mais faut relativiser la chose of course, « en pleine forme » en 2016 ne correspond pas à « en peine forme » en 2013, physiquement parlant.

Masi l’opération, avant et après (passque pendant, je faisais dodo) fut plus difficile que la première fois. Pas point de vue douleur, non, mais point de vue angoisse. Je n’ai pas eu de pré narcose, ce qui m’avait permis de quitter ma chambre et d’y revenir endormie. Ici, je suis arrivée en salle d’hop totalement réveillée, j’ai même causé avec le médecin, lui expliquant que j’avais rencontré une journaliste qui le connaissait et qu’à l’hosto on entendait sans cesse du bien de lui, sympa. Puis j’ai respiré dans un masque ce que je croyais être de l’anesthésiant (l’anesthésiant était dans l’intraveineuse, là c’était de l’oxygène), je respirais, je respirais et je ne m’endormais pas, j’allais dire « je ne dors pas » quand je me suis endormie.

Le pire fut le réveil en salle de réveil. Les infirmières étaient adorables, mais j’avais encore un masque pour respirer, j’avais le nez bouché, j’avais les yeux opérés et plein de trucs gluants et en plus je n’avais pas mes lunettes, donc je ne voyais vraiment rien. Et ce fut long, mais long. Quand j’ai entendu « remplis son retour en chambre », j’aurais pu danser. Mais en chambre ce fut long, mais long, d’autant que je devais tout le temps faire pipi. Je ne comprenais pas

**************à suivre


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