Magazine Journal intime

21/9/2016 : opération bis - SUITE

Publié le 21 septembre 2016 par Anaïs Valente

Début du billet publié le 11/9/2016 :J’ai donc été opérée pour la deuxième fois et comme je l’ai dit, si ça avait été la première fois, j’aurais été moins zen pour la seconde. Tout bien réfléchi, l’après fut plus chouette, vu que le jour de l’opération au soir j’étais en pleine forme, on m’a même demandé si l’anesthésiste m’avait injecté quelque chose, genre gaz hilarant… je devais me sentir super soulagée. Et le lendemain, j’étais chez Trafic. En pleine forme je vous dis, mais faut relativiser la chose of course, « en pleine forme » en 2016 ne correspond pas à « en peine forme » en 2013, physiquement parlant.

Masi l’opération, avant et après (passque pendant, je faisais dodo) fut plus difficile que la première fois. Pas point de vue douleur, non, mais point de vue angoisse. Je n’ai pas eu de pré narcose, ce qui m’avait permis de quitter ma chambre et d’y revenir endormie. Ici, je suis arrivée en salle d’hop totalement réveillée, j’ai même causé avec le médecin, lui expliquant que j’avais rencontré une journaliste qui le connaissait et qu’à l’hosto on entendait sans cesse du bien de lui, sympa. Puis j’ai respiré dans un masque ce que je croyais être de l’anesthésiant (l’anesthésiant était dans l’intraveineuse, là c’était de l’oxygène), je respirais, je respirais et je ne m’endormais pas, j’allais dire « je ne dors pas » quand je me suis endormie.

Le pire fut le réveil en salle de réveil. Les infirmières étaient adorables, mais j’avais encore un masque pour respirer, j’avais le nez bouché, j’avais les yeux opérés et plein de trucs gluants et en plus je n’avais pas mes lunettes, donc je ne voyais vraiment rien. Et ce fut long, mais long. Quand j’ai entendu « remplis son retour en chambre », j’aurais pu danser. Mais en chambre ce fut long, mais long, d’autant que je devais tout le temps faire pipi. Je ne comprenais pas

à suivre

Suite : Donc je devais tout le temps faire pipi, ce que je ne comprenais pas vu que j’étais à jeun et sans boire depuis la veille. Mais la perfusion est pleine de liquide cqfd… Je demandais l’heure tous les quarts d’heure, croyant qu’une heure, voire deux, était passées, et ben non ce n’était qu’un quart d’heure, encore en y pensait maintenant, revivre cette attente me fait trembler d’angoisse… Looooooooooooooooong.

Puis à 17h, l’infirmière est venue enlever la perfusion, youpiiiiiiiiiiiiiie. Après, ça a été de mieux en mieux, je n’ai pas souffert mais je me sentais comme un zombie…

Le soir, mon beau-père m’a demandé ce que le doc m’avait injecté comme drogue, tant j’étais excitée et joyeuse…

Bon, ça fera trois semaines demain, je vois toujours double, grrrrrrrrrrrrrrrrr… Patience, patience (le mot magique).

Début du billet publié le 11/9/2016 :J’ai donc été opérée pour la deuxième fois et comme je l’ai dit, si ça avait été la première fois, j’aurais été moins zen pour la seconde. Tout bien réfléchi, l’après fut plus chouette, vu que le jour de l’opération au soir j’étais en pleine forme, on m’a même demandé si l’anesthésiste m’avait injecté quelque chose, genre gaz hilarant… je devais me sentir super soulagée. Et le lendemain, j’étais chez Trafic. En pleine forme je vous dis, mais faut relativiser la chose of course, « en pleine forme » en 2016 ne correspond pas à « en peine forme » en 2013, physiquement parlant.

Masi l’opération, avant et après (passque pendant, je faisais dodo) fut plus difficile que la première fois. Pas point de vue douleur, non, mais point de vue angoisse. Je n’ai pas eu de pré narcose, ce qui m’avait permis de quitter ma chambre et d’y revenir endormie. Ici, je suis arrivée en salle d’hop totalement réveillée, j’ai même causé avec le médecin, lui expliquant que j’avais rencontré une journaliste qui le connaissait et qu’à l’hosto on entendait sans cesse du bien de lui, sympa. Puis j’ai respiré dans un masque ce que je croyais être de l’anesthésiant (l’anesthésiant était dans l’intraveineuse, là c’était de l’oxygène), je respirais, je respirais et je ne m’endormais pas, j’allais dire « je ne dors pas » quand je me suis endormie.

Le pire fut le réveil en salle de réveil. Les infirmières étaient adorables, mais j’avais encore un masque pour respirer, j’avais le nez bouché, j’avais les yeux opérés et plein de trucs gluants et en plus je n’avais pas mes lunettes, donc je ne voyais vraiment rien. Et ce fut long, mais long. Quand j’ai entendu « remplis son retour en chambre », j’aurais pu danser. Mais en chambre ce fut long, mais long, d’autant que je devais tout le temps faire pipi. Je ne comprenais pas

à suivre

Suite : Donc je devais tout le temps faire pipi, ce que je ne comprenais pas vu que j’étais à jeun et sans boire depuis la veille. Mais la perfusion est pleine de liquide cqfd… Je demandais l’heure tous les quarts d’heure, croyant qu’une heure, voire deux, était passées, et ben non ce n’était qu’un quart d’heure, encore en y pensait maintenant, revivre cette attente me fait trembler d’angoisse… Looooooooooooooooong.

Puis à 17h, l’infirmière est venue enlever la perfusion, youpiiiiiiiiiiiiiie. Après, ça a été de mieux en mieux, je n’ai pas souffert mais je me sentais comme un zombie…

Le soir, mon beau-père m’a demandé ce que le doc m’avait injecté comme drogue, tant j’étais excitée et joyeuse…

Bon, ça fera trois semaines demain, je vois toujours double, grrrrrrrrrrrrrrrrr… Patience, patience (le mot magique).


Retour à La Une de Logo Paperblog