Xavier Portebois - Looking for hope
Des plus éclairées, ensoleillées journées aux lumineuses, invisibles averses torrentielles d’autres invisibles photons que c’est déjà sans conteste une merveilleuse saison me disait celui à coté, mon ami, payant avant de partir sa consommation, le printemps non pas de Prague mon vieux, clignant de l’œil, non la belle saison de Rdeyef, me lança t-il partant. Normalement, c’est le temps de la remontée de toutes les chaudes sèves, pour des exaltées courses aux si désirées inséminations, fécondations jusqu’aux bourgeonnements aux éclosions de nos espoirs, nos rêves, nos supplications, nos prières de voir ce pays enfin, définitivement débarrassé de ces furoncles, abcès et moult maladives excroissances, de ces ravageurs, détracteurs, voleurs, délateurs anonymes et volontaires, gaspilleurs de salive aux tribunes satellitaires des causes d’avance perdues, encreurs de torchons de pseudo journaux juste utiles aux sols ammoniaqués des chiottes. Il parait que notre printemps a assez insisté pour voir ces rougeoyants bourgeons fleurir à notre sud, alors…