NEW YORK, Etats-Unis - Le Conseil de sécurité des Nations unies s'est réuni hier, à la demande américaine, français et anglaise, pour disent-ils, demander à la Russie de " sauver la trêve " en Syrie, notamment à Alep. Cette fois-ci, la Russie, par la voix de son représentant à l'ONU, M. Vitaly Tchourkine (photo), a indiqué que son pays sait déjà pourquoi ces derniers souhaitent toujours des trêves que leurs poulains ne respectent pas mais qui leur permettent de se regrouper et de se renforcer.