Magazine Humeur

La vision à distance met fin au secret !

Publié le 26 septembre 2016 par Jcr3

Premier exemple, l'assassinat de Kennedy à Dallas, deux des meilleurs voyants de l'institut, Dick Alguire à Hawaï et Daz Smith à Bath en Angleterre, décrivent la scène qui se déroule devant leur troisième oeil.

Un sujet comme Dick Alguire est capable de décrire parfaitement le " Old Red" (une cible vérifiable, aujourd'hui un musée), place Dealey à Dallas...

Les deux hommes voient avec une extra-lucidité, au moins deux sources de coups de feu en direction d'un véhicule en mouvement.

Dick Alguire décèle un groupe de tireurs, toujours trois hommes : le tireur, le co-tireur et celui qui fait le guet, en plus des deux autres en cas de besoin, mais qui n'a pas tiré, et un groupe de commandement installé au sommet du clocher du "gothic building" disposant d'un brouilleur de communication très en avance pour l'époque.

Deux snippers, dans les bâtiments, dont Oswald, un autre isolé dans le parc que Dick Alguire décrit comme se débarrassant de son arme dans la boite à outil d'un complice.

De toute évidence, certain de ces voyants modernes ont largement dépassé le cadre des formes simples pour des visions extrèmement sophistiquées. Les vidéos en location chez Viméo montrent le déroulement du processus de vision à distance sur tableau blanc.

"Ce serait le p*** d'assassinat Kennedy ?" s'exclame Dick en fin de processus.

Les voyants se servent souvent d'un point d'appui comme un gribouillis d'écriture automatique qui suit le numéro de dossier pour Daz et qui lui indique la direction à suivre, Dick Alguire se sert d'un visage comme d'une carte, comme une rose des vents sur laquelle il indique du marqueur la direction qu'il souhaite emprunter...

La première session portait sur les tireurs, les Remote Viewers ne connaissent que le numéro du dossier et la ressemblance des visions est stupéfiante. La deuxième session portait sur les organisateurs :

Un bouc émissaire et une conspiration de circonstance entre un groupe de personnes bien habillées, qui sentent la politique à plein nez et un autre groupe également en costume mais usagés, des personnes habituées à l'action.

Aucun des deux groupes ne se fait confiance, c'est un accord entre l'ENA et l'École de la Rue, explique en substance Daz.

Dick Alguire voit des visages... Un jeune type avec "une large machoire et un petit menton" qui déambule dans la rue désemparé, il cherche à joindre un autre type, look bc/bg, le nez fin, qui ressemble à Bush senior, mais plusieurs "pare-feux" l'en empèchent car c'est un espion.

Puis un troisième homme, plus vieux, avec un cou épais et un coupe de cheveux à l'allemande. Un homme mauvais, prêt-à-tout, il a peur ( Hoover était au coeur d'une enquête de l'attorney général, Ted Kennedy)... Partout une forte odeur de cigares cubains.

On est loin du tireur solitaire mais en plein dans la théorie de la conspiration : la CIA, le FBI de Hoover (political) associés à la mafia (street wise).

À ce propos saviez-vous que l'expression " théorie de la conspiration" avait été insuflée aux rédactions par la CIA à cette même époque pour discréditer tout écart de la version officielle ?


Retour à La Une de Logo Paperblog

Magazine