Grasset, août 2016, 198 pageslien, 17 euros 50
lu pour les matchs de la rentrée littéraire 2016 (aka #MRL16)
On dit de lui qu'Hugo Boris, pourtant jeune écrivain encore, a déjà abordé de nombreux genres littéraires différents dans ses précédents romans, créant chaque fois la surprise et l'admiration : fantastique, réaliste, historique...
S'il fallait désigner une case (beurk) pour Police, ce serait, peut-être : un roman sociétal (beurk, beurk), ou alors corporatiste (beurk, beurk, beurk).
Ce qui est sûr en tout cas : ce n'est pas, mais pas du tout, un roman policier !
J'avais lu et adoré Trois grands fauves, et je confirme l'effet de surprise, de contraste absolu, avec celui-ci.
Seul point commun : l'écriture limpide, précise et élastique, parfaitement adaptée aux accélérations de l'action, comme aux réflexions intérieures des personnages, et aux descriptions de lieux et de comportements.