La ville, c’est bien évidemment Bordeaux et ses banlieues proches. Dans les parcs et jardins (mais pas que), les oiseaux semblent se sentir bien. Que pouvait-on donc observer en ce mois d’octobre, qui fut globalement doux et sec ?
La sittelle torchepot fréquente assidument les parcs du centre-ville … :
… tout comme le moineau, le rougegorge et le grimpereau, pas toujours facile à voir car son plumage a la couleur de l’écorce des arbres :
Le geai est très présent et très bruyant :
Par contre, le chardonneret fut plus difficile à prendre en photo ; la timidité, sans doute :
Dans un jardin bien particulier, le Parc Rivière, le pic-vert est parfois bien visible :
En banlieue nord, à proximité d’étangs artificiels, on peut rencontrer des bergeronnettes … :
… et leur cousine, la bergeronnette des marais, jamais vue à cet endroit auparavant :
Lorsque le ciel vire au gris, les mouettes rentrent en ville … :
… et les cormorans prennent leurs quartiers d’hiver :
La star des lieux humides est bien évidemment le martin-pêcheur, une flèche bleue pas toujours facile à photographier, mais visible quotidiennement :
Et puis il reste le « non identifié », le « je ne sais pas bien qui c’est ». Le rapace qui vole au-dessus de la maison ne saurait être un milan : les milans noirs ont entamé leur migration dans la deuxième quinzaine d’août. Je sais que dans le coin déambulent des busards des marais, mais le mystère reste entier :
Idem pour ce petit passereau bien plus petit qu’un moineau ; je penche pour pouillot véloce, qu’en pensez-vous ?