La vérité éclate

Les rumeurs couraient depuis plusieurs années mais jamais les preuves n’avaient été apportées pour clouer le bec des sceptiques. Aujourd’hui la vérité éclate.

Les histoires de Martiens et autres petits hommes verts bercent mon imagination depuis l’enfance : bandes dessinées, films, romans, nous en avons vu de toutes les couleurs et de toutes les tailles, des gentils et des méchants, des rigolos et des effrayants mais tout ceci relevait du domaine du fantasme. Certains plus malins ou mieux informés lâchaient des bribes d’informations sur un certain homme de Roswell, mais tout était sous le contrôle des armées du monde entier, une sorte de conspiration du silence que même wikileaks n’a pas su éclaircir jusqu’à maintenant.

Un silence pesant mais compréhensible. Le monde entier veut savoir s’il existe une vie hors de notre Terre mais d’un autre côté, si elle était démontrée, imaginez les réactions imprévisibles que cela déclencherait ! Entre les braves gens prêts à les accueillir les bras ouverts, ceux qui au contraire les flingueraient à vue et les sectes qui y verraient je ne sais quelle réincarnation de leur dieu préféré, le bordel serait total.

J’ai donc longuement hésité avant de vous faire part de ma découverte mais tant pis, je prends le risque, la vérité doit primer. Oui les extraterrestres existent ! Et il y a bien longtemps qu’un cercle fermé d’initiés le sait, j’en veux pour preuve cette photo datant de 1943 et prise par le célèbre photographe Robert Doisneau. Un être venu d’une planète inconnue (d’après mes informations) par des moyens mystérieux et non élucidés encore, aurait été retrouvé mort dans une cave d’un immeuble de la rue Lauriston à Paris (XVIe) Les autorités ont bien entendu tenue la chose secrète mais ont tenté avec l’aide de leurs plus illustres savants et scientifiques de faire avancer la science.

La photo, très rare, montre l’autopsie de ce « Martien » et si globalement, on peut y voir une ressemblance avec le corps humain, on devine aisément que l’individu avait peu de chances de passer inaperçu dans la capitale. Il semblerait que les examens n’aient pas donné de réponses à toutes les questions posées et que les restes de la dépouille soient conservés dans des bocaux stérilisés, planqués dans les sous-sols secrets du Muséum d’Histoire Naturelle… mais on dit beaucoup de choses sur tout.