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Nouvel ordre mondial ou désordre annoncé?

Publié le 09 novembre 2016 par Observatoiredumensonge

Rien ne va plus « ici et maintenant », l’incantation socialiste a fait long feu, le socialisme à la française agonise, car il s’est couché devant l’altermondialisme, embourbé, empapaouté le prolétaire devenu frontiste malgré lui: quel mélange, quelle confusion chez les disciples de Jaurès, on est bien loin des envolées lyriques de Mitterrand qui promettait un avenir radieux à la socialo-sphère.
Quel réveil brutal depuis la mairie de Tulle: notre pays auréolé autrefois d’un prestige immense (pays des Sciences, de la Civilisation, de la Culture et des Arts) périclite à vue d’oeil.
« La force tranquille » se réduit comme peau de chagrin pour céder la place en héritage au fatalisme et au renoncement, l’ultime faiblesse des palfreniers de la république, les bourrins avaient-ils prévu la trahison du « changement, c’est maintenant »?
Rappellez-vous l’anecdote soviétique de l’époque de la « stagnation » Brejnévienne (Brejnev et ses sbires dans un train immobilisé simulent le mouvement), déjà la tyrannie des ronds de cuir pointe le bout de son nez!
Quel beau triomphe des eunuques enchâssés d’honneurs et de fonctions mal acquises (sapins de noël et guirlandes) ces perroquets de la décrépitude intellectuelle nous rabotent les neurones avec leur bréviaire pro-islam, padamalgamite du vivre ensemble, le trou dans la couche d’ozone vous dis-je quelle envolée et quelle ambition!
Oubliés les slogans d’hier, ceux de l’indépendance, d’un patriotisme vertueux, d’une fierté nationale farouche, retrouvée grace au général De Gaulle, une régression mentale de type totalitaire s’impose en solution finale à l’ordre républicain moribond (désordre, rebellion, contestation, catégories, communautarisme rien n’échappe au citoyen bastonné, matraqué pas seulement par les taxes) cet obscur désir de devenir esclave de nos tortionnaires actuels ou à venir au prix de la pire collaboration nous téléporte 70 ans en arrière!
A qui la faute: égoïsme virulent et vomitoire d’une caste déconnectée de la réalité (castration idéologique, le socialo-fascisme endosse les oripeaux du capitalisme) qui distille impunément haine, division et confusion, forme de guerre larvée contre l’institution et ses représentants (armée, police, soldats de plomb, enseignants tous visés), parodie d’un état d’urgence qui cache mal la plus parfaite inertie.
Paralysie catastrophique d’un pouvoir au bord du gouffre. Poser la question c’est hélas y répondre, il ne fait pas bon penser librement, c’est devenu une entreprise périlleuse, voire suicidaire. (toute dissidence se paie au prix fort dans une administration devenue pointilleuse et répressive)Une présidence de gauche n’est pas la présidence du peuple dans sa totalité.
Les intellectuels sont pris dans l’engrenage des faits, la frénésie du mensonge intoxique et le désastre économique frappe les plus faibles, l’idéologie dominante et ses nervis « utiles » instrumentalise toute protestation non conforme aux intérêts de la gauche, le pouvoir isolé du peuple ne tolère pas la critique ou l’indépendance d’esprit même parmi les siens, tout ennemi, tout contestataire doit être muselé ou réduit au silence, sinon il sera selon son rang écartelé en place publique et voué aux gémonies, excommunication ou chasse aux sorcières, qui a trop débattu sera battu comme plâtre, l’inquisition remise au goût du jour passe au fer rouge toute dissidence! (journalistes, forces vives et patriotes mis à l’index)! Les bonnes vieilles lunes staliniennes sont des maladies très contagieuses!
La mondialisation, cheptelisation des esprits c’est la perte de l’humain, de la générosité, du partage, le choix mortel de la proie pour l’ombre, l’amnésie et la décadence, direction l’antichambre de la mort.
En ces temps d’hyper communication l’époque n’est plus à la sagesse, ni à la retenue (devoir de réserve oublié, révolution avortée de Mai 68), ni à l’harmonie d’une réflexion studieuse, mais au triomphe de l’instant des sectes, des combines, des machinations absurdes des f(r)actions d’influence, des fanatismes religieux qui instillent le poison du mensonge, la barbarie meurtrière et l’absence d’idées.
L’instantanéité régit un monde politique corrompu (jouisseurs, profiteurs, concussionnaires impénitents qui dilapident les richesses de l’état) façonne à son image un troupeau de clones et de rapaces, ces prédateurs pillent la république, la planète se meurt avec des idéologies agressives, l’intolérance fait des ravages, la turpitude des grands n’a plus de limites: corruption et auto-satisfaction des satrapes!
Rien dans les mains, rien dans la tête, tout dans les jambes des pantins de panurge, pas de projet dans un avenir fini, celui d’un consumérisme aveugle, celui des esclaves!
Comment parvenir à ses fins: la morale, comme la religion sont abolies, la propagande nationale-socialiste devient l’arme absolue des manipulateurs du régime: tyrannie, absolutisme et arbitraire (question de méthode: les traités de stratégie militaire sont nombreux à consulter de toute urgence)!
Vaincre par la coercition, par l’intimidation, le chantage organisé par le biais d’associations ou de groupuscules complices sont choses aisées à un pouvoir sans scrupule et sans morale, diviser et culpabiliser pour régner(un seul objectif rester aux affaires le plus longtemps possible), semer le trouble et la zizanie chez les opposants, corrompre, si besoin est, les consciences fragiles sont malléables, dis-moi quel est ton prix pour la trahison tranquille et j’y pourvoirai au royaume des assignats rien n’est impossible!
Règles de vie: Profitons de la vie qui nous est octroyée, car elle est courte, ces préceptes épicuriens pour débiles mentaux sont remis à l’ordre du jour d’une société malade de la peste (La Fontaine) et sans consistance morale, l’idéologie fumeuse des idéaux-graphes socialos-marxistes domine toutes les éthiques, toutes les ontologies.
Toutes les religions sont maltraitées au royaume de l’hypocrisie, sauf une, se trouvant sous la surveillance malveillante de nos laïcards de service adeptes de la bienpensance, de la pensée unique, agit-prop de type soviétique, ces défenseurs zélés de la vertu de gauche (la seule en vente), instaurent une police de la pensée (brigades staliniennes ou iraniennes c’est tout comme) les exemples ne manquent pas dans nos chaumières.
Dans la maison de Molière, le tartuffe se targue de toutes les présomptions d’innocence, maquillage de notions floues, d’un droit trafiqué (témoins assistés, coupables non-coupables) de tout un fatras hétéroclite d’arguties juridiques qui justifient à outrance l’incongru et le surréaliste du grand maître Ubu.
Démagogie et populisme se serrent les coudes pour égarer et diviser les citoyens! Quel programme!
On n’a jamais autant parlé de fraternité, de liberté et d’égalité que dans cette souille inégalitaire où nous pataugeons en nous payant de mots, en assénant des contre-vérités flagrantes, où le faible est maltraité, l’indigent écrasé, le pauvre piétiné par l’oligarchie bêlante au pouvoir, mépris cynique des règles, justice et injustice sociale se confondent dans la confusion des traditions, l’oubli des valeurs, de l’histoire: un citoyen abusé, manipulé par ce pouvoir sort de ce moule étatique, citoyen sans foi, ni loi, sans mémoire, ni histoire, aseptisé, assexué, modifié transgénique et désaxé lobotomisé!
La république socialiste désespérée de se voir si laide dans ce miroir sombre dans l’anarchie et dévore ses enfants, la haine engendre la haine, le crime s’ajoute au crime, le mensonge au mensonge, la faiblesse à la faiblesse et la lâcheté à la lâcheté!
Recul, démission, repentance et soumission devant les forts, la belle ambition que voilà!
Face à l’adversité, face à la menace, il n’existe qu’une seule alternative: résister au mal, en s’opposant de toutes ses forces à la destruction massive de nos libertés essentielles!
Ce nouvel ordre mondial d’esprit totalitaire et tyrannique sème la mort, la ruine et la désolation universelles,- notre devoir, lui barrer la route: no passaran!
A suivre

Jean-Marie Pieri

*** Attention ce texte est une TRIBUNE LIBRE qui n’engage que son auteur***


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