Le dialogue avait été à peu près celui-ci :
- Il faut que tu regardes Doctor Who, tu vas adorer
- Hum. La science-fiction, ça m'emmerde, en général.
- Oui, mais là, c'est anglais.
Elle avait raison.
Ce qui m'a frappé dès le premier épisode, c'était cette capacité phénoménale à manier conjointement le premier et le second degré : de l'ironie dans une scène, et dans la suivante, une tirade shakespearienne…