Sainte Brigitte se trouve dans l'arrondissement de, canton de Gourin et dans l'intercommunalité de Pontivy communauté.
Le nom de la commune en breton est Berc'hed ou en référence à Brigitte de Kildare ( Sainte Brigide d'Irlande), abbesse et patronne de l'Irlande
Sainte-Brigitte se trouve à la frontière du et des Cotes d'Armor.
La commune de Sainte-Brigitte appartient par ses traditions au pays Bro Kost ar c'hoad (la particularité de ce terroir est d'être adossé à la forêt de Quénécan , d'où son nom qui signifie " Le pays à côté du bois "), pays qui englobe également les trois communes voisines de Gouarec, Plélauff et Perret .
Longitude : 3°07'45″ W
Latitude : 48°09'45″ N
Communes limitrophes :
Son code postal est le 56480, son code commune est le 56209
Les habitants de Sainte-Brigitte sont les Brigittois, Brigittoises
Au recensement de 2013 il y avait 176 Âmes à Sainte-Brigitte
L'attitude minimum de Sainte-Brigitte est de 120 m et son maximum est de 286 m
La superficie de Sainte-Brigitte est de 17,74 km²
site internet de la commune : http://www.sainte-brigitte.frSainte-Brigitte est une des communes les moins densément peuplées du avec seulement 9,4 hab./km 2.
C'est aussi l'une des plus boisées avec 1 075 ha de bois pour une superficie totale de 1 774 ha, soit un taux de boisement de 60 %.
La vaste forêt de Quénécan s'étend en effet sur une bonne partie de son territoire.
Évolution de la population
Souveraineté :
Arrondissement
Canton 1793
Municipalité 1793
De grands cristaux de chiastolite (andalousite), appelées pendant des siècles macles, sont abondantes aux Salles de Rohan , à tel point que les vicomtes de Rohan placèrent sept macles d'or sur leur blason ; leurs descendants en ajoutèrent deux supplémentaires à partir du milieu du siècle.
- Église Sainte Brigitte, des siècle et siècle
- Moulin des Salles (ruines)
- Anciennes forges des Salles, du siècle, également sur commune de Perret, dans les Côtes-d'Armor, inscrites au titre des Monuments historiques.
- Reconstruites en 1750 et lentement modifiées, ces forges sont demeurées dans l'état où elles se trouvaient lors de leur cessation d'activité, à la fin du 19e siècle. Le château du maître de forge régisseur, les logements d'ouvriers ou rangées, en schiste, couvertes d'ardoises, et la maison du charpentier datent de la reconstruction du 18e siècle.
- Les autres bâtiments (hangar, dépôts, écuries) sont issus de campagnes de travaux menées sous les Janzé, nouveaux propriétaires, peu avant l'ouverture du canal de Nantes à Brest sur le Blavet (1842) et poursuivis jusqu'à l'arrêt définitif, en 1879.
- Vieux site métallurgique du domaine de la maison de Rohan, on y avait adopté pour la première fois en Bretagne la technique indirecte. A partir de 1621, sous l'impulsion d'Henri II, duc de Rohan, jusqu'alors chef du parti calviniste, fut ajoutée une fenderie confiée au Sedanais Geoffroy de Finement, sieur d'Angecourt. Produisant marmites, galettoires, verges et boulets au 18e siècle, les Salles puisaient leurs ressources dans les forêts voisines (Quénécan) et éclusaient quatre étangs (des Salles, du Vieux Fourneau, de la Forge Neuve, du Guéhault) , dont le plus vaste couvre près de 30 hectares. Le bâtiment de la forge neuve possède un moulin à tan et une cheminée d'affinerie uniques en Bretagne