Anne connaît Michel Plouhinec, qui fut gardien auxiliaire de ce phare que personne ne garde plus : il a été automatisé. La dernière relève a eu lieu le 10 avril 1990. "Daniel Tréanton et Michel Le Ru, les deux gardiens en service ce jour-là, ont été hélitreuillés. Depuis l'automatisation, les visites d'entretien du phare s'effectuent par hélicoptère. Une fois par an, des plongeurs inspectent la base du phare." (Wikipedia)
Couché dans son lit, les nuits de tempête, Michel raconte qu'il faisait des bonds entre 50 cm et 1 m.