Chapitre 2
Hé ho, La France!
Que reste-t-il de la patrie des droits de l’homme si chèrement acquise au prix de tant de sacrifices, de tant de héros anonymes, quand la nomenklatura bêlante joue les maquignons contre le peuple!?
L’énarchie des salauds domine et se prélasse dans les palaces et les divans profonds des palais de la république. Verrouillage systématique des partis qui empêche tout renouvellement de l’offre à gauche comme à droite, même immobilisme!
Le temps n’est-il pas venu de balayer les écuries d’Augias? De saquer sans préavis ces profiteurs gras et repus!
La cuisante expérience et l’escroquerie manifeste des primaires « imaginaires » qui capturent moyennant finance le vote des citoyens en imposant le candidat coopté par l’oligarchie aux manettes, cela rappelle le fonctionnement du PCUS et l’ère Brejnev, dite période de »stagnation » on choisit le moins dangereux des candidats en apparence le plus stupide ou le plus roué, celui qui ne fait pas de vagues, le plus apte à mentir sans vergogne et à faire avaler la potion amère, en apparence du moins!
Que de promesses non tenues et le cynisme fait force de loi chez les repris d’injustice, jamais responsables, jamais coupables, les apparences ne sont pas toujours sauves, cela ne marche pas à tous les coups, la preuve l’héritage laissé par 5 ans de socialisme, bilan lamentable et calamiteux, mais l’état avancé de décomposition et de corruption des esprits permet un choix programmé pour éliminer toute tentative de rénovation du système, la confrérie des malfaisants, des malotrus: énarques, journalistes, fonctionnaires, syndicalistes et autres plumitifs roues de secours de la dictature bien pensante se pressent autour des gamelles de la république, bien garnies et abondemment fournies aux frelons et aux profiteurs! La soupe est bonne au royaume des coquins!
La meute n’a de cesse de piller et de gaspiller les richesses du pays, elle se gave dans l’ivresse de ses prérogatives, consciente que cela ne va pas durer avant le coup de bâton vengeur de 2017, avide de tondre la laine sur le dos des moutons!
Inutile de désigner ces malfrats à la vindicte populaire, les bons apôtres sont bien connus et le tribunal de l’histoire saura dénoncer ces crimes imprescriptibles!
Pour régner il faut savoir diviser, semer le doute, la haine et la rancune, favoriser le mensonge, dresser citoyen contre citoyen, catégorie contre catégorie et règle d’or culpabiliser ceux qui représentent un quelconque danger!
Toute indépendance d’esprit est proscrite, extirper toute dissidence des cerveaux, lobotomiser toute différence, toute vélléité de résistance chez les citoyens, au nom du décervelage idéologique, d’un ordre mondial délirant, fabriquer l’homme nouveau, génération dépendante, soumise, au service des caprices de la secte au pouvoir, l’anonyme rond de cuir responsable mais pas coupable, jamais condamnable, Orwell avait bien saisi les dangers du système totalitaire, de la tyrannie des « apparatchiks », les objectifs sont les mêmes, un verre de rhum rend la dictature cubaine supportable, vive le tourisme de gauche, colonialisme à l’envers, la perversion qui se moque de la misère « misère pour tous » et du bon vouloir des néo-négriers, de la démocratie des faux-semblants!
Le patriotisme est désuet, l’amour du pays une notion dépassée rien à voir avec la théorie fumeuse du village progressiste bobo-écolo, vous voulez rire, quelle honte, cachez ce populisme que je ne saurais voir!
La misère, le chômage ne sont pas pour nous, mais pour les manants et les sans dents! Mépris à peine caché des démocrates de pacotille pour la valetaille blanco!
Ne convient-il pas d’occulter tout ce qui vient du passé: ferments de culture, traditions, passé glorieux, héros prestigieux, défenseurs héroïques des deux guerres mondiales, symboles du courage et de la vertu civique, tout doit disparaître, pays en solde à la découpe, au plus offrant, au détriment d’une culture sado-socialo-soviétique, informe ravalement des mentalités au niveau zéro de l’inculture!
Honte vite bue au pays (jadis si fier), aujourd’hui trahi, humilié, déconsidéré, de la caste rampante et vénale qui (se) couche pour un verre (ver) de pétrole ou un sac d’écus, qui vient caresser les nomades du désert dans le sens de la burka, toute monarchie pétrolière en mal de respectabilité, montée au pinacle!
Tartuffe- imperator piétine allègrement les droits de l’homme et de la conscience humaine au bénéfice d’un terrorisme de la pensée et de l’idéologie unique « Joyeux Noël citoyens et bonne année » nous sommes en état d’urgence, dormez tranquilles, le marchand de sable est passé!
La prostituée de Babylone, la plus belle avenue du monde met en scène tous ses appats pour séduire le barbare, le nouvel arrivant, comblé de tous les attraits de l’inconnu « autre », pas d’amalgame raciste c’est inconvenant au pays des lumières, la nouvelle rome-romantique brille de tous ses feux « d’artifices » et ses jeux de sons (cons) et de lumières pour intriguer et tenter de subjuguer la brute sanguinaire qui répand la haine et la violence en attendant de devenir la ville des ténèbres et de l’ignorance.
La cocotte socialiste, décatie et obèse, vit dans un monde d’illusion et de prétention devenu obsolète, le monstre du colonialisme inversé des fâcheux distille ses toxines qui s’accumulent, à la pollution s’ajoute la pollution sournoise, sado-masochisme des larmoyants de service, bouffi chez les vampires vendange/vidange la probité au prix d’un sourire niais, passant du tout-à-l’égout des selfies aux pires contorsions, le fantôme de Jaurès ne se retourne-t-il pas dans sa tombe devant de telles pitreries, la vanité triomphe de l’intelligence, l’ambition des marchands du temple prend le dessus sur le courage et la vertu civiques, le drapeau devient un repoussoir ringard qu’on laisse fouler aux pieds un lendemain d’élections, la Marseillaise dénigrée par des élus incultes qui s’insurgent contre des paroles violentes, bien éloignées c’est vrai des salons de thé des nantis des beaux quartiers!
Le peuple ça fait vulgaire, coupable de tous les maux: raciste, colonialiste, ne voilà-t-il pas qu’il se droitise le bougre, certains disent qu’il se « trumpétise » ce grand satan des ayatollahs du socialisme des walking dead de la pensée, quant au populisme n’en parlons pas ça fait désordre dans les cantines du parti!
Décadence et meurtre de toute pensée non conforme au costume du moujik travesti, unisexe, transgenre, socialiste muet, sourd et aveugle, grenouille de bénitier athée soumise à la doxa et au bréviaire de gauche, la propagande d’état devient institution mortifère, fustige toute transgression des soldats de plomb et l’outil de déformation plutôt que d’information d’une TV de désinformation de masse corrompt les esprits… à quand la cigüe pour les traitres!
A suivre
Jean-Marie Pieri
*** Attention ce texte est une TRIBUNE LIBRE qui n’engage que son auteur***