Le geai des chênes

Publié le 12 février 2017 par Sambuca

Il vient aux mangeoires quand il fait froid en décembre et janvier. Il a une nette préférence pour les cacahuètes. Il mange aussi bien sur la table :

Que sous la table :

Mais il fait aussi son marché tout seul au sol dans le jardin :

En mars, encore célibataire, perché un peu partout dans les arbres :

Lissage, nettoyage et mise en forme du plumage :

Envol :

Les noces le 9 avril :

Le 18 avril j’ai compris où ils avaient installé le nid familial parce que, pour y accéder ou en sortir, ils se posaient sur une branche d’un grand chêne devant la vitre du séjour :

Mais dès que je sortais pour voir l’endroit exact, ils se méfiaient. J’ai fini par en apercevoir un sortant d’une grosse touffe de lierre sur le tronc du chêne :

J’ai pu aussi admirer les geais du Jardin des Plantes de Paris. Ils sont si peu farouches qu’ils s’attroupent juste au-dessus des visiteurs comme pour les surveiller :

Il vient aux mangeoires quand il fait froid en décembre et janvier. Il a une nette préférence pour les cacahuètes. Il mange aussi bien sur la table :

Que sous la table :

Mais il fait aussi son marché tout seul au sol dans le jardin :

En mars, encore célibataire, perché un peu partout dans les arbres :

Lissage, nettoyage et mise en forme du plumage :

Envol :

Les noces le 9 avril :

Le 18 avril j’ai compris où ils avaient installé le nid familial parce que, pour y accéder ou en sortir, ils se posaient sur une branche d’un grand chêne devant la vitre du séjour :

Mais dès que je sortais pour voir l’endroit exact, ils se méfiaient. J’ai fini par en apercevoir un sortant d’une grosse touffe de lierre sur le tronc du chêne :

J’ai pu aussi admirer les geais du Jardin des Plantes de Paris. Ils sont si peu farouches qu’ils s’attroupent juste au-dessus des visiteurs comme pour les surveiller :