Pics et sittelle, les tambourineurs

Publié le 14 février 2017 par Sambuca

Dans notre région on peut rencontrer 4 espèces de pics. Par ordre de taille : le pic vert, 33 cm, le pic épeiche, 24 cm, le pic mar, 22 cm, le pic épeichette, 16 cm.

Je n’ai jamais vu le pic épeichette, peut-être parce que je n’y ai pas prêté attention à cause de sa petite taille. Il n’est pas plus gros qu’un moineau.

J’ai certainement entendu le pic vert mais je n’ai pu le voir et encore moins le photographier. Il ne vient jamais aux mangeoires. Il m’est arrivé d’entendre des coups puissants sur un tronc d’arbre. Cela se passait de l’autre côté du tronc. J’ai contourné doucement, précautionneusement, je n’ai rien vu. Pourtant cela tapait toujours sur le tronc mais maintenant du côté opposé. Ce côté rusé, cette façon de tourner autour du tronc en me surveillant, la puissance des coups sur le tronc, cela a toutes chances d’être le fait d’un pic vert.

Le pic épeiche est moins rusé, moins farouche, et j’ai pu le photographier une fois tapant sur un tronc à Romilly :

Et il vient facilement aux mangeoires, aussi bien sur que sous la table :

Le mâle présente un carré rouge sur la nuque, visible de dos ou de profil.

Le pic mar est le plus coloré avec sa calotte rouge bien nette chez les deux sexes et son cul rouge. Lui aussi vient facilement aux mangeoires :

La sittelle est abondante, visible presque tous les jours aux mangeoires. Contrairement à ce que l’on peut lire, elle n’est pas agressive et ne chasse pas les mésanges :

C’est une acrobate habituée à descendre les troncs ou sur les murs tête en bas

et elle picore dans toutes les positions :

Elle fait vraiment son marché. Elle n’a pas de caddie mais elle entasse jusqu’à 3 graines dans son bec :

Si elle tape, ce n’est pas souvent pour percer l’écorce d’un arbre, pour son nid elle utilise un trou déjà existant qu’elle maçonne aux dimensions voulues, quoiqu’une fois je l’ai surprise à écorcer un sureau dont l’écorce est tendre. Le temps que je prenne l’appareil photo, elle s’était enfuie, sans doute la conscience pas tranquille. Voici le résultat :

Lorsqu’elle tape, c’est sur une noisette qu’elle a coincée dans une fente d’écorce de chêne en général car c’est l’écorce qui s’y prête le mieux :

Il m’arrive donc de trouver un reste de coquille de noisette sur un tronc de chêne :

Dans notre région on peut rencontrer 4 espèces de pics. Par ordre de taille : le pic vert, 33 cm, le pic épeiche, 24 cm, le pic mar, 22 cm, le pic épeichette, 16 cm.

Je n’ai jamais vu le pic épeichette, peut-être parce que je n’y ai pas prêté attention à cause de sa petite taille. Il n’est pas plus gros qu’un moineau.

J’ai certainement entendu le pic vert mais je n’ai pu le voir et encore moins le photographier. Il ne vient jamais aux mangeoires. Il m’est arrivé d’entendre des coups puissants sur un tronc d’arbre. Cela se passait de l’autre côté du tronc. J’ai contourné doucement, précautionneusement, je n’ai rien vu. Pourtant cela tapait toujours sur le tronc mais maintenant du côté opposé. Ce côté rusé, cette façon de tourner autour du tronc en me surveillant, la puissance des coups sur le tronc, cela a toutes chances d’être le fait d’un pic vert.

Le pic épeiche est moins rusé, moins farouche, et j’ai pu le photographier une fois tapant sur un tronc à Romilly :

Et il vient facilement aux mangeoires, aussi bien sur que sous la table :

Le mâle présente un carré rouge sur la nuque, visible de dos ou de profil.

Le pic mar est le plus coloré avec sa calotte rouge bien nette chez les deux sexes et son cul rouge. Lui aussi vient facilement aux mangeoires :

La sittelle est abondante, visible presque tous les jours aux mangeoires. Contrairement à ce que l’on peut lire, elle n’est pas agressive et ne chasse pas les mésanges :

C’est une acrobate habituée à descendre les troncs ou sur les murs tête en bas

et elle picore dans toutes les positions :

Elle fait vraiment son marché. Elle n’a pas de caddie mais elle entasse jusqu’à 3 graines dans son bec :

Si elle tape, ce n’est pas souvent pour percer l’écorce d’un arbre, pour son nid elle utilise un trou déjà existant qu’elle maçonne aux dimensions voulues, quoiqu’une fois je l’ai surprise à écorcer un sureau dont l’écorce est tendre. Le temps que je prenne l’appareil photo, elle s’était enfuie, sans doute la conscience pas tranquille. Voici le résultat :

Lorsqu’elle tape, c’est sur une noisette qu’elle a coincée dans une fente d’écorce de chêne en général car c’est l’écorce qui s’y prête le mieux :

Il m’arrive donc de trouver un reste de coquille de noisette sur un tronc de chêne :