Telle que vous ne me voyez pas, je suis assise en déséquilibre sur une chaise à trois pieds et je veux que rien ne bouge.
J'ai passé deux jours dans le "Chateau de ma Mère", 3ème porte à gauche au bout des tmettes, la dernière avant le Paradis et, il faut que je vous dise....
Quand j'écris ici que je suis célibataire et que la vie c'est trop injuste, je mens un peu et pas que la nuit. En ce moment chez moi c'est un peu "César et Rosalie" sans Romy. Je ne suis pas cynique, je ne (essaye) profite pas, c'est juste comme ça, ça m'est un peu tombé dessus d'un coup et je voudrais que rien ne bouge.
Mais hélàs mon agenda n'est pas extensible à l'infini et aujourd'hui je me sens un peu larguée, triste et frustée. Je ne tiendrais pas la longueur du marathon; je ne crois pas.
L'artiste maudit, en boucle sur son nombril,atta-chiant et doué ; le "gendre idéal" rassurant, intelligent, attentionné, vertical et doué. Un du côté du COrbusier, l'autre à Philadelphie la plupart de l'année, sauf pendant les vacances scolaires, et les vacances c'est maintenant ;
alors en ce moment, je dîne parfois deux fois dans la même soirée, je mens par omission, je glisse, je trompe un peu, je cloisonne mais je suis là, parce-que je les aime comme ça et que j'ai besoin d'eux deux. Indissociables je crois ? !
Allez-y, vous pouvez me lancer des cailloux...(sabordage, vous avez dit ?)