Jusqu’au 24 avril 2017
Organisée autour de trois thèmes Nine Discourses on Commodus (1963), Fifty Days at Iliam (1978) et Coronation of Sesostris (2000), cette rétrospective retrace l’ensemble de la carrière de l’artiste américain. Ce sont 140 peintures, sculptures, dessins et photographies, prêtées par la Cy Twombly Foundation, les musées et collections privées du monde entier et avec le soutien de son fils Alessandro, sont présentées chronologiquement.
Edwin Parker Jr Twombly dit Cy Twombly (1928-2011), ( Cy pour cyclone) héritier de l’expressionnisme abstrait est né en Virginie. Il fréquente le Black Mountain College. Il rencontre le musicien John Cage, Robert Motherwell, Merce Cunningham ou encore le poète Charles Olson. Il est l’ami proche de Robert Rauschenberg.
Depuis les années 1950 il partageait son temps entre les États Unis et l’Italie. . D’abord influencé par les arts primitifs, les graffitis et l’écriture il aborde dans les années 1970 l’art minimal et conceptuel et s’oriente ensuite vers des toiles très colorées.
Il est considéré comme l’un des plus grands artistes de la seconde moitié du 20 ème siècle. Il avait dès les années 60 été invité à la Biennale de Venise (n 2001 il a reçu le Lion d’or. Puis le Milwaukee art center propose une première rétrospective. Dans les années 70-80 au Withney Museum of american art , au Musée d’art moderne de Paris, au MoMa, au Huston museum, au Museum Abteinberg de Munich, au Kunsthaus de Zurich, à la Fondation Lambert à Avignon. Roland Barthes a écrit deux textes de présentation de catalogue, dont celui-ci.
Vidéos de présentation de l’exposition
Toute la Presse parle de cette exposition dans des termes souvent dithyrambiques : notamment dans La Libre, Le Figaro, Le Monde , Les échos, La Croix, Télérama. ou encore une émission sur Radio Notre Dame , et sur Arte
Quelques images d’œuvres de Cy Twombly, souvent de très grande taille
Cy Twombly – From 8 Odi di Orazio (series I), 1968
Cy Twombly – Lepando 2001