Me penchant alors pour les examiner,
Je m’inclinais sur ces dépouilles,
Et une étiquette de traçabilité,
Indiquait qu’il s’agissait de couilles.
L’origine était inscrite en toutes lettres,
Un tampon d’authenticité sur le papelard,
Faisait clairement apparaître,
Qu’il s’agissait de couilles de couards
Leurs propriétaires les avaient perdues,
En fuyant devant l’ennemi
Et l’on ne trouvait plus aucun couillu,
Depuis la débâcle face aux nazis.
Subsistait donc un grand mystère
Comment ces émasculés se sont ils reproduits ?
Comment sont ils revenus aux affaires
Dans les restes de la France d’aujourd’hui ?
 tous les échelons jusqu’au sommet de l’état,
On les voit couchés faisant allégeance
 des daesch, isis et autres califats
Abandonner le combat, renoncer à toute défense.
On peut mesurer leur courage
En énumérant leurs reculades,
Crèche, cantine, burka sont le témoignage
Que la france s’incline devant le Djihad
Les veaux veautent pour ces eunuques,
Qui leur chantent l’air de la démocratie,
Cette mystification, ce très vieux truc,
Disparu dans les combines de l’oligarchie.
On peut désormais tout leur faire
Les tromper, les mystifier, les taxer,
Il n’y a plus aucune réaction réfractaire,
Les français émasculés sont anesthésiés.