Cela faisait au moins un an que nous n’avions pas déambulé dans le parc floral de Bordeaux, qui, à ma connaissance, est le plus vaste parc de la ville et où, surtout, le côté sauvage est encore bien préservé (nous y avons vu, il y a déjà fort longtemps, des traces de sanglier). En ce dimanche d’avril-ne-te-découvre-pas-d’un-fil mais ôte quand même le pull car il fait plus de 25°C, en ce dimanche disais-je, nous avons d’abord vu de l’araignée :
Puis des insectes ressemblant à des cousins, qui convolaient en d’injustes noces, parce-que entre cousins, quand même, ce n’est pas bien raisonnable :
Dans le jardin des villes jumelles, de plus en plus à l’abandon et donc fort délabré, une brave grenouille prenait le frais sur une triste grille métallique :
Mais le clou de la balade était ailleurs. Nous vîmes une si jeune tortue que sa carapace semblait encore molle :
Et surtout nous avons vu, mais à contre-jour, un joli rapace, a priori un faucon, mais savoir s’il était crécerelle ou autre fut peu aisé, la lumière jouait contre nous :
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