Ma nouvelle addiction

Publié le 26 juin 2008 par Anaïs Valente
Etrangement, depuis que je vous ai parlé de mon addiction au Scrabble, ça m’est passé.  Navrée pour les parties laissées en plan, mais vraiment, tous ces mots, toutes ces lettres, ça me retourne le cœur.
Nan, maintenant, j’ai trouvé mieux : Bubble Town.
Comment, vous ne connaissez pas Bubble Town ?  C’est que vous ne connaissez pas cul-chèvre alors !  Passque Bubble Town est sur cul-chèvre, et c’est Mostek qui me l’a montré, of course.  Et qui m’a fait une formation accélérée, car en matière de jeux électroniques,  je suis pas très très douée, je l’avoue (et si je l’avoue pas, elle est cap de venir mettre un commentaire me dénonçant, donc tant qu’à faire, autant l’avouer).  
Ce jeu n’est pas un jeu de vitesse, et c’est l’essentiel pour moi, car quand je suis pressée par le temps, comme dans PacMan et ses abominables fantômes dévoreurs, je perds tous mes moyens.  Ici, on prend son temps pour faire des trios de bestioles, qui se désintègrent.  Et quand un trio désintégré soutient d’autres bêtes, elles s’en vont alimenter le lance-bestiole.  Dément non ?  Attention aux bêtes en bois qu’il faut éliminer.  Et aux pizzas volantes.  Mais pour vous aider, vous avez le viseur à l’occasion, et le désintégrateur aussi.  Le petit côté sadique, ce sont les nuages qui cachent les bestioles.  Mais bon.
Mais le plus drôle dans ce jeu, c’est qu’il y a le son.  Et quel son !
Des orgasmes.
Si. Je vous jure.  Lorsque plusieurs bébêtes ont été désintégrées, ça fait un aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah incroyable.
Et lorsque un paquet de bestioles tombent, y’a le ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiih ahaaaa strident qui déchire les tympans.
Sans oublier le son de la bébête qui se réveille.  Ben oui, passque certains s’endorment, sans doute d’ennui face à ma lenteur.  Faut donc les réveiller en leur envoyant une bête similaire en pleine tronche.  Et ça fait un mawmaw à mourir de rire.  Ou bien un ouèèèè ?, suivi d’un reniflement dégueu.  Ou encore un mmmmmmmhuuuuuuuuu très féminin et sensuel.  Tout ça en fonction de la bestiole réveillée, of course.
Je vous l’assure, rien que pour le son, ce jeu vaut le déplacement.
Mais attention à la dépendance.  Pour ma part, je suis complètement accro, au point que j’ai joué jusque 1h30 du mat l’autre jour, et que Mostek, sur MSN, m’a contactée pour me dire « argh, je joue encore, c’est déconner ».
Je vous aurai prévenus !  Alors, prêts à me défier sur Bubble Town ?