Nul ne l’ignore plus.
Notre beau pays de France est en péril d’être colonisé.
Une immigration proliférante, terroriste et meurtrière le phagocyte et l’envahi. Nous devons lui résister à tout prix pour recouvrer notre souveraineté, notre honneur et notre salut.
Pour l’amour de la France, une Armée de l’ombre se lève.
Le chant des fusils est le Psaume de combat de notre temps.
Pour sauver notre nation menacée, son but est d’encourager le plus grand nombre de partisans à s’engager. Il y eut des précédents lors de la der des der.
Ce Psaume mûrissait dans mon esprit depuis longtemps.
Il attendait d’être en corrélation avec l’actuel dés-envoûtement des citoyens français qui peuvent enfin aspirer à une résistance patriotique.
Anesthésiés par trop de mensonges et de désinformations, leurs yeux se dessillent. Ils redressent leurs épaules et se remémorent l’héritage de leurs aïeux, les valeurs historiques de leurs héros gaulois; des chevaliers partant en croisades délivrer les chrétiens de l’esclavagisme musulman, la grandeur d’un Charles Martel, d’une Jeanne d’Arc, d’un Jean Moulin. Ils reconsidèrent la richesse de leur beau langage, de l’esprit des lumières, un art de vivre libre et méritant, d’autant que ce précieux héritage s’édifiait sur une éthique de foi judéo-chrétienne.
Dans notre futur des plus incertain, choqués par tant d’agressions islamiques,
de nombreux groupes de citoyens sentent bouillonner dans leur coeur l’héroïque furia française de leurs grands anciens aux combats.
Par l’évidence d’innombrables crimes incessants qui interpellent leurs consciences, ils réalisent combien leur enfermement cérébral les amenait à une sorte de fatalisme pernicieux, due à leurs élites politiciennes et leurs lucarnes cathodiques dévoyées. Ils ressentent à quel point leur âme anesthésiée fut souillée et piétinée.
Aussi, ce peuple d’en-bas se lève-t-il comme un seul guerrier. Sa langue devient un glaive, son corps une armure de Vérité, son bras s’affermit, une ceinture de justice ceint ses reins, un casque de détermination protège leur volonté de vaincre, leurs chaussures retrouvent le zèle du vent pour se battre et sauver l’avenir de leurs enfants. Ce psaume de combat réhabilite le sens de l’honneur. Nombre de citoyens étancheront leur soif de vérité dans ses paroles, jusqu’à le chanter à pleine voix en guise de catharsis.
Par le pouvoir des mots et du souffle qui doit le porter en tous lieux, ils vaincrons ce pernicieux totalitarisme religieux qui les agresse.
Sans ambiguïté aucune, Le chant des fusils désigne clairement ce jihad islamique maléfique qui nous à été déclaré la guerre, preuves sanglantes à l’appui depuis le 11 septembre 2001. Il est clair que cette déclaration de conflit planétaire s’adresse à toute la civilisation occidentale.
La force de ce psaume permettra de fédérer de nombreux groupes de patriotes résistants répartis dans l’hexagone, ses îles et sa francophonie.
Depuis son origine mahométane, le jihad mystique et coranique demeure l’ennemi séculaire d’Israël et tout autant, de l’Europe et du monde libre.
La peur qui rôde dans les pensées de nos dirigeants et leurs vassaux médisants et médiatisants, ensemence toutes sortes de compromis et de mensonges d’Etat. Une écoeurante odeur de collaboration se répand sur les ondes et les écrits, pour établir la balkanisation de notre nation, répandre la terreur, fonder la charria de la dhimmitude, l’éclatement du socle des familles laïques, judéo-chrétiennes et distiller l’esprit de délation. L’horreur de cette contamination mortifère hantera les autorités morales et intellectuelles qui l’auront favorisée.
Ce chant des fusils de la résistance doit retentir à l’esprit des jihadistes. En les combattant sans merci, nous vaincrons Daesch et ses réseaux criminogènes.
Que les patriotes se concentrent sur cette cible et ne se dispersent pas en vaines dénonciations du spectacle qu’offre le bateau ivre de l’actuelle gouvernance française, privée de cap et de boussole.
Qu’il en soit de même pour les Partis politiques, plus ou moins clonés les uns les autres, qui singent et dansent pour une prise de pouvoir éphémère.
Il est temps de focaliser nos pensées et nos actes pour la protection de nos familles, nos maisons, notre foi confessionnelle, nos temples, synagogues, églises, universités, nos entreprises et nos technologies. Il est encore temps de rehausser la militarisation de nos armées et des services de sécurité policière (récemment victimes de Daesh en plein coeur de Paris), pour retrouver un peu d’éthique en politique et le réarmement moral de notre société civile.
Face à nos ennemis fanatisés, ce Psaume contemporain rend hommage au grand Roi David pour l’anniversaire de ses 3000 ans. Simple berger, armé d’une fronde et de cinq pierres, par la foi, il vainquit avec l’une d’elle la force obtuse d’un Goliath jihadique. Il devint Roi et Chantre psalmiste de l’Eternel universel « Je suis », pour tout homme épris de liberté, de justice et de vérité.
Dans la lignée des Psaumes cévenols, de La Marseillaise et du « chant des Partisans », que ce chant des fusils se répande en toutes contrées et nations éprises de liberté. Qu’il suscite crainte et confusion aux hordes criminelles jihadistes. C’est-là ma prière de disciple de Jésus.
Pasteur François CELIER
Pasteur iconoclaste
Conseiller National de pilotage
Chargé des Relations Internationales des « Volontaires pour la France »
Citoyen français et ancien combattant.
LE CHANT DES FUSILS