chez Gallimard, collection Blanche, 320 pages,lien avril 2017, 20 euros
Récemment, il y a eu les évaporés de Thomas B. Reverdy, les éclipsés de Jérôme Leroy, voici l'envolé qu'Antoine Bello présentait par un beau jour de mai dans un salon de la rue Gaston Gallimard.
Mon avis : excellent “ faux ” roman américain, L'Homme qui s'envola est une parfaire lecture d'été ; mais attention à l'effet pelote : vous ne vous arrêterez pas là, et deviendrez, comme moi, fan des histoires de Bello !
Comme d'habitude ici, si vous passez la souris sur l'image de la couverture à gauche, vous lirez le résumé de l'éditeur qui est bien sûr irréprochable.
Je pourrais m'arrêter là...
Mais ce serait faire montre d'ingratitude car j'ai eu la chance d'écouter l'auteur présenter son livre, se raconter un peu, expliquer comment est né ce roman.
Antoine Bello est généreux, dans son écriture, comme envers ses lecteurs-auditeurs ; je me sens donc autorisée à partager ici quelques petits secrets de fabrication qu'il nous a révélés lors de la rencontre.