Macron est plus que jamais l'idole... des médias qui roulent pour lui.
Au début, il y a eu Dieu et puis un jour Macreux 1er est arrivé...
Par Nanouche
À peine arrivé, déjà hollandisé ! Macron a été repris en main par Merkel à l'occasion de son premier sommet européen. Mais... la presse subventionnée s'emploie à dissimuler le malaise, excepté pour le service public, FranceInfo qui se dispute avec BFMACRON la place de premier propagandiste. Une vidéo hallucinante et inouïe, les 27 seraient à genoux devant " Jupiter ", ah ah ah....
Dans la pratique, le Conseil des 22 et 23 juin n'a repris aucune des demandes françaises annoncées de longue date par Macreux 1er. Exemple : en particulier, il n'a ouvert aucun débat sur les travailleurs détachés, sujet sur lequel la France avait bandé les muscles en demandant un durcissement de la réglementation. MacrHollande a fait un superbe BIDE. Les demandes françaises ont été réduites à néant, Merkel a pris par la main le cador des bacs à sable du Touquet et lui a admonesté l'une des fessées déculottées dont elle a le secret. Celle-ci prend d'ordinaire la forme d'une conférence de presse conjointe. Macron l'avorton n'a pas échappé à la punition. Le silence gêné des journaleux qui ont voulu dissimuler le ratage macronien. En dehors du Point, qui a titré " Macron au sommet de l'UE : premiers échanges, premier revers ", le reste de la presse se montre d'une flagornerie extravagante ! D'être encensé par la pressaille propulse ses délires paranoïaques au summum. En Mégalomanie veut une gouvernance impériale. Après sa mise en scène au Louvre et après avoir emprunté tous les codes de la Ve exemple, avec le command-car, le voilà réunir le Congrès à Versailles le 3 juillet, court-circuitant ainsi Philippe qui doit faire son discours de politique générale le 4 à l'AN. Macreux 1er avait décidé de réunir le congrès une fois par an, à la manière du président américain dispensant chaque année son " discours sur l'état de l'Union ". Ou bien, compte tenu du lieu, à l'instar des monarques de l'ancien temps prononçant devant les Parlements un "lit de justice", parfois appelé "séance du roi en son Parlement". Excepté que dans la Ve c'est le chef du gouvernement qui cheffe, pour Philippe se sera une humiliation ! Certains y voient un respect de ses engagements quand d'autres soulignent une " bonapartisation " de la vie politique, et ce sont les autres qui ont raison, en plus du coût exorbitant. Réunir le Congrès : une pratique rare et encadrée, d'autant plus que la convocation, se ferait SANS motif particulier, contrairement aux convocations par les précédents chefs de l'État. Délire d'un narcissique dont le culte de la personnalité n'est plus à démontrer. Extrême personnalisation du pouvoir, les mêmes qui dénonçaient cette pratique hier, aujourd'hui applaudissent, alors que c'est bien pire. Donc, entre Macreux 1er, Castaner et Ferrand, le rôle de Philippe se rétrécit de jour en jour, bientôt il n'aura plus son mot à dire, sauf pour donner des interviews comme " simple répétiteur " !
Un amateurisme très inquiétant que Jupiter et son gouvernement s'évertuent de masquer par des opérations de com' : au royaume du nombrilisme Macron est le Roi ! Réunir le Congrès, un coup de com' à 500 000 euros, est-ce vraiment la peine d'aller dépenser tant d'argent pour une publicité de " m'as-tu vu, moi, le seul Maître " qui décide et fais ce que je veux... Ce sont les contribuables qui devront passer à la caisse avant même que le quinquennat de Jupiter n'ait donné quelques actes " héroïques ".
Et " en même temps ", le modernisme de l'ère Macronienne, c'est le règne de l'absolutisme : les six vice-présidences de l'Assemblée reviennent à LREM et au Modem. Absence de représentant de l'opposition à la Questure : un hold-up institutionnel. Thierry Solère, professionnel de la trahison s'est arrangé avec FerrandFerré afin d'être le troisième questeur de l'AN. C'est la première fois dans la Ve République que les droits de l'opposition sont totalement méprisés. Aucune démocratie ne voit le parlement ainsi floué dans ses prérogatives. Trois questeurs En Marche, c'est inédit. Macreux 1er ne respecte pas les règles des Institutions, c'est un vrai déni de démocratie et c'est très grave. Comme dans les pays de l'Est de l'époque stalinienne, le Parti dominant au pouvoir choisit son opposition pour sa servilité, ça n'est jamais arrivé ! C'est symptomatique de vouloir tout étouffer. Désormais, l'opposition n'aura aucune possibilité de contrôler la préparation et l'exécution du budget de l'AN qui seront réalisées en toute opacité par la majorité et ses alliés. On vient de rompre avec plus de cinquante ans de pratique parlementaire, du jamais vu sous la Ve République !
" En même temps ", Jupiter a décidé qu'il ne s'adressera pas au petit peuple le 14 juillet, ce doit être cela le renouvellement de la politique, aussi ! Pourquoi ? Car " sa pensée est trop complexe " pour ça ! " L'ère du vide ", l'Élysée est une société de production qui permet de vendre une belle histoire. Mais les mots peuvent vous échapper et sont difficiles à contrôler. C'est pour ça, qu'il préfère les images. Les peopoleries suffiront à occuper les médiagogues si bienveillants.
Élu Roi, il avoue ouvertement le mépris inouï qu'il ressent à l'égard des Français, raison, en plus, de sa dangereuse dérive autocratique, parce que justement, il n'est RIEN. Sans charisme, sans relief, sans stature. Il ne peut se prévaloir ni de son parcours ni de son histoire. Dans le Macron tout est bidon, il est une imposture !
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