La marche des bénis oui-oui

Publié le 14 juillet 2017 par Observatoiredumensonge

Les états totalitaires commencent toujours par éliminer les plus faibles

Par JM Pieri


Chapitre 23

La marche des bénis oui-oui

MARTYRANNOSUS REX

Ne vous y trompez pas ce n'est pas un nouvel épisode de Star Wars que l'on veut vous infliger, ni une giclée de Jurassic Park politique, après le changement c'est maintenant, (le P. S. du P.S. en grande vadrouille quel honneur monsieur le préfet!) nous en avons repris pour 5 ans, la république en marche des bénis oui-oui et autres misérables fantômes de la société civile, soldats de plomb manipulables et guéables à merci, si fiers d'exister dans la galaxie de Marx-Mao ou crève, le grand nettoyage du quinquennat s'amorce par celui des générations anciennes (saga-africa), en attendant les autres, les états totalitaires commencent toujours par éliminer les plus faibles, ce n'est pas le grand remplacement tant attendu, ni une forme de génocide qu'il faut craindre, mais plutôt une forme d'euthanasie douce et aseptisée, quelque chose de sournois et d'organisé avec le sourire pas pour le meilleur, mais pour le pire, le notre.
Participation en guest star des laboratoires internationaux prédateurs émérites, ceux de notre 4 ième Reich de la Mondialisation carnivore: bobo-socialo-écolo-facho qui vont ratisser très large nos générations orwelliennes: vaccinations depuis la naissance, jusqu'au 3 âge surpeuplé qui aura droit à la sacro-sainte administration de l'ultime et bienfaisante piqure, non mais allo docteur Mengele!
Dis tonton au fait, pourquoi tu tousses depuis ton catafalque doré, vois-tu bien notre camp de travail concentrationnaire des sans droits, des sans dents, des incultes, des sans culottes, sans costumes, des rien, cela rime à quoi,- à rien!
Où est donc passée ta démocratie sentencieuse et verbeuse au pays des droits de l'homme! Et toi Jaurès, l'immortel tribun insatisfait aurais-tu jamais osé y penser, pas géniale la combine du fils la mort-rose souriante entre les dents, gardez-vous à droite, père gardez-vous à gauche qui laisse pantois les extrêmes!( fachistes au placard, collabos au poteau!)
La nouvelle religion, nouvelle imposture, ivresse de destruction d'apprentis-sorciers fanatisés et blindés par la crasse et l'absence d'idées privilégie l'autre, notre lointain, le non pareil au détriment des siens, notre prochain traité comme un chien, accusé de tous les crimes (colonialisme, racisme, extrémisme, fascisme, xénophobie et islamophobie, refus de s'adapter à une culture hors sol) desouchons jusqu'à ce que mort s'ensuive, débouchons à pleins tubes le cloaque de notre impuissance (Calaisbouchard, Parisdalgo and so on!)
Gloire à toi Jupiter à la pensée si complexe-Louis XIV en sommeil- juvénile Napoléon-Bonaparte du haut de ta pyramide de franche ma connerie, gare à toi de ne pas devenir Henri IV vertu-galant ou Louis XVI le bidouilleur sur le fil du rasoir, ni Pétain, ni Pinochet stagiaires chez Messieurs Staline-Hitler et cie, victimes du vertige du succès ou même pire évite de regarder de trop près Kim Jung du haut de ton nuage de fumée médiatique!
Tout est programmé dans la grande clinique du décervelage-dépucelage anal des moutons en marche où plus rien n'a de sens, monde des valeurs inversées (mais pas la courbe du chômage) terrorisme et réchauffement climatique vont de pair: ouf les ours blancs sont bien conservés pour l'instant avec la nouvelle ambassadrice bi-polaire, les vacances de Mr Cachalot, écolo sans pipe nous promettent les plus chers délires, promenade en bateau garanti parmi les phoques.
On suffoque devant tant de puanteur, devant tant de cynisme et de duplicité d'un gouvernement d'arrivistes, requins-coquins qui en croquent à la gamelle de l'aqua-circus (pillage et gaspillage les deux mamelles de la France) un concentré d'esbroufe chaque jour ne suffit plus à notre bonheur, ramassage des ordures au chalut, fermeture des centrales nucléaires, arrêt du diesel, mon entreprise ne connait pas la crise, sanglots longs des violons de l'automne, qui viendra bousculer nos âmes! Âpre réalité, " quand la bise fut venue " nous restâmes sur le c...l!
Ce n'est plus le martyr de l'obèse, c'est le peuple martyr que l'on baise!

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