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Le succès de KUFIRI à la Foire du Livre de Pristina.

Publié le 03 juillet 2017 par Lucie Léanne @lucieleanne75
succès Ouverture de Foire

Ouverture de La Foire de Prishtina De gauche à droite : Anton Nike Berisha, grand critique littéraire albanais. Besnik Mustafa, écrivain et Abdullah Zeneli, éditeur de Buzuku et écrivain.

En mars dernier 2017, au Salon du Livre de Paris, mon éditeur Abdullah Zeneli  (Editions Buzuku )  m’a dit que Kufiri remportait un franc succès au Kosovo, en Albanie.  J’étais ravie.

-Vous êtes invitée au Salon du Livre de Prishtina qui a lieu début  juin. Voulez-vous venir ?

Depuis le temps que je rêvais de découvrir l’Albanie, les lecteurs de Kufiri, de rencontrer ma traductrice…

– Avec plaisir. Merci !

J’étais plus que ravie; j’étais aux anges. Tout simplement.

1.Le succès de Kufiri à la Foire du Livre de Pristina.

La foire du Livre de Pristina s’ est tenue du 6 au 11 juin 2017.

Tout est allé très vite durant ces 4 jours de promotion. Mon éditeur Abdullah Zeneli et ma traductrice Anila Xhekaliu (qui parle parfaitement le francais), m’ont dorlotée et conseillée. Ils savent que je suis timide, émotive, surtout lorsqu’il faut parler en public.

Radio Prishtina

Klara Buda, Mentor Tori Mripa et Anila Xhekaliu.

Donc quand j’ai été invitée le soir, à Radio Pristina, à l’émission de Mentor Tori Mripa, réalisée en direct, j’étais à l’aise pour parler de mon roman Kufiri, pour répondre aux questions de l’animateur et de celles de la journaliste franco albanaise Klara Buda.

2. Présentation à la presse de Kufiri

succès presse

De gauche à droite : Abdullah Zeneli, Anila Xhekaliu, Klara Buda et Elvi Sideri.

Ce fut un grand jour pour moi. J’étais très impressionnée par l’accueil de Kufiri auprès du public albanais. Leur curiosité, leur intérêt pour le thème délicat qu’est  l’internement psychiatrique de force, (n’en déplaise à certains, c’est toujours un sujet tabou en France) mais aussi et surtout pour mon style poétique. Des heures à « creuser le vers » (dixit Mallarmé),  un travail titanesque enfin reconnu.

Abdullah Zeneli, éditeur de Buzuku, a défendu avec fougue mon roman auprès des journalistes présents.

A la fin, séance de dédicaces. Bien qu’intimidée,  j’étais fière de voir les lecteurs albanais désireux de lire Kufiri.

Les premières critiques sont arrivées quelques jours après, dans la presse papier et numérique. Toutes élogieuses. J’en ai choisi deux : celle de GazetaExpress et la plus importante, celle de Anton Nike Berisha, grand critique littéraire albanais, dans RTK.

Son article sera traduit prochainement par Anila Xhekaliu. Voir la page de mon blog Buzuku : éditions albanaises

3. Kufiri recoit le prix du meilleur roman étranger du kosovo

Le succès de Kufiri en Albanie s’est confirmé avec le prix qu’il a reçu : prix du meilleur roman étranger. Une joie immense ! J’ai d’ailleurs consacré un article à ce sujet.

Il faut être honnête; si Kufiri existe, c ‘est  grâce à Abdullah Zeneli, à Buzuku qui à eu le courage de le publier alors que les maisons d’éditions françaises l’ont refusé.

Heureux hasard car en étant publié chez Buzuku, j’ai découvert un magnifique pays : l’Albanie, son peuple chaleureux, sa culture, son patrimoine historique.

Une partie de mon coeur est pour toujours  en Albanie, au Kosovo, à Pristina, à Tirana, sur les lacs et les montagnes, au pays des aigles, avec mes amis artistes.

L’aventure continue pour Kufiri, La Frontière.  A bientôt !

Courte vidéo des paysages somptueux d’Albanie.

Je n’ai aucun lien avec la compagnie Albanie Vacances.


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