Julliard, août 2017,lien 648 pages, 23 euros
Je ne cherche pas d'excuses à ma paresse, simplement je reconnais que quand il y en a, je commence toujours un roman par les remerciements de l'auteur (plus rares dans les romans français que les anglo-saxons et par conséquent plus attirants), souvent éclairants ; et que ceux de Philippe Jaenada en particulier, sont un concentré de gentille roublardise littéraire, de franchise bonhomme, d'empathie tendre et drôle. Un échantillon parfaitement représentatif de son style !