(avec du Jaenada et du Bollaert dedans, c'est un peu long mais quand même,
elle s'annonce chouette, cette Rentrée)
Je ne saurais dire depuis quand je me suis mis à lire des romans avec un œil d'artisan.
Toujours est-il que c'est devenu comme un réflexe : quand l’œil gauche ne demande qu'à plonger dans l'histoire, le droit ne peut s'empêcher de décortiquer, de repérer les procédés, de se demander « mais comment fait-il/elle ? »
Ça peut être gênant, quand les ficelles se voient trop. Il y a quelques années, après avoir abandonné plusieurs livres sans les finir, j'ai eu peur…
Toujours est-il que c'est devenu comme un réflexe : quand l’œil gauche ne demande qu'à plonger dans l'histoire, le droit ne peut s'empêcher de décortiquer, de repérer les procédés, de se demander « mais comment fait-il/elle ? »
Ça peut être gênant, quand les ficelles se voient trop. Il y a quelques années, après avoir abandonné plusieurs livres sans les finir, j'ai eu peur…