Mon père adorait le café et aimait commander « une bonne djate di relevant », c’était sans doute du wallon.
Moi je n’ai jamais aimé le café. En fait, je ne me souviens pas en avoir bu, si ça tombe, j’adorerais…
Mais j’adoooooooooore l’odeur du café torréfié chez Delahaut.
Bon, trêve de bavardage, le sujet est « le café à William-Lennox ».
Je l’ai raconté 1000 fois à tout qui je croise, mais j’adore cette anecdote que ma sœur m’a racontée.
Au début, à Lennox, je buvais du café. Aucun souvenir, donc impossible de savoir si ça me semblait bon. Mais ma sœur, qui me connaît et sait que je n’en bois jamais, contrairement à beaucoup de belges (une fois) me dit « tiens, tu bois du café, tu aimes ça maintenant ? »
Et moi : « non, mais je ne le dis pas, ils sont si gentils ».
Donc, à croire que je n’osais pas le dire. Ma sœur l’a donc dit et le lendemain j’ai eu du lait froid chocolaté, j’adore. A mourir de rire, non ? Si si.
Mon père adorait le café et aimait commander « une bonne djate di relevant », c’était sans doute du wallon.
Moi je n’ai jamais aimé le café. En fait, je ne me souviens pas en avoir bu, si ça tombe, j’adorerais…
Mais j’adoooooooooore l’odeur du café torréfié chez Delahaut.
Bon, trêve de bavardage, le sujet est « le café à William-Lennox ».
Je l’ai raconté 1000 fois à tout qui je croise, mais j’adore cette anecdote que ma sœur m’a racontée.
Au début, à Lennox, je buvais du café. Aucun souvenir, donc impossible de savoir si ça me semblait bon. Mais ma sœur, qui me connaît et sait que je n’en bois jamais, contrairement à beaucoup de belges (une fois) me dit « tiens, tu bois du café, tu aimes ça maintenant ? »
Et moi : « non, mais je ne le dis pas, ils sont si gentils ».
Donc, à croire que je n’osais pas le dire. Ma sœur l’a donc dit et le lendemain j’ai eu du lait froid chocolaté, j’adore. A mourir de rire, non ? Si si.