7/10/2017 : FIFF : Nelly et Simon : mission yéti

Publié le 07 octobre 2017 par Anaïs Valente

Ce vendredi, comme mon rhume était moins fort, j’ai décidé d’aller en ville en bus voir au caméo 1 un film d’animation du FIFF, histoire de finir en beauté, et de découvrir le caméo 1, new version. J’allais voir « Nelly et Simon : mission yéti », un dessin animé québecois.

 En allant prendre le bus, je rencontre l’infirmière de nuit de William-Lennox, qui vient de prendre sa pension. Je papote tant avec elle que quand je recommence à marcher, mes jambes sont super ankylosées, je marche comme un canard malade.

 Je monte tant bien que mal dans le bus et je descends à l’arrêt près du Caméo. Bon, il est 11h10 et je vais voir le film à 13h, je suis juuuuuuuuuuuste un peu en avance…

Je vais redécouvrir Wibra, il est 11h25. Je vains redécouvrir Zeeman, il est 11h35. Bon bon, je décide de trainer ma carcasse en rolateur jusqu’Agora, je resterai au rez. Et j’achète le nouvel album du chat (de Geluck), la caissière, que je reconnais car dans ma première vie j’adoooorais rester des heures chez Agora (à l’étage) et regarder les livres. Avent tout ça, il est 12h. J’arrive au Caméo à 12h15, mais on me dit gentiment que la séance où je veux aller est pour le FIFF CAMPU et que toutes les places sont prises. Meeeeeeeeeeeerde. Je peux attendre, s’il reste une place elle sera pour moi. J’abandonne mon idée de cliente VIP et je m’assieds pour attendre, sous les regards compatissants du personnel (ils sont gentils comme tout, ont pitié de moi et prient pour qu’il reste une place).

 A 13h, quand tous les mômes sont entrés, il reste 4 places, l’organisateur est heureux, ça se voit (au moins je ne pleurerais pas de désespoir en hurlant comme Maxime Préveau, enfin comme un veau, ouf), et il me conduit à ma place : dernière rangée, pratique comme tout, ouf.

Le film est génial, marrant comme tout, avec un oiseau à mourir de rire, et des personnages marrants et émouvants, qui plus est doublés en français, mais avec un léger accent québécois, trop joli.

 L’histoire : « Québec, 1956. Les destins de Nelly Maloye, détective privée débutante, et Simon Picard, assistant de recherche en sciences, se croisent accidentellement. Soutenus par un mécène ambitieux, Maloye, intuitive et chaotique, et Picard, méthodique et obsessionnel, se lancent dans une aventure visant à prouver l’existence du Yéti. Pour y arriver, Simon compte sur le journal d’un explorateur pour les mener au repaire de la créature mythique. Accompagnés de Tensing, un jeune guide Sherpa, et de Jasmin, un mainate bavard, ils sont confrontés à de nombreux dangers au cœur de l’Himalaya. »

Après le film, je vais (encore) chez Burger King (je l’appelle sans cesse Giant King, tchu), et je croise Catherine à qui j’avais dit de m’y rejoindre, on passe un super moment, et on mange bien. Leur coca light framboise est un régal, comme leur fanta light framboise. Je reçois une tête de mort fille en cadeau (fille car elle a un nœud rose), diantre.

 Vers 17h20 je reprends un bus, et je rentre chez moi, épuisée comme après un marrant (je voulais dire un marathon), toujours enrhumée, mais je n’ai plus mal à la tête, donc le rhume est en partance, yes. En partance tout comme le FIFF, snif. Je remercie l’équipe pour sa confiance, et les équipes du Caméo et du théâtre qui ont été supers avec moi.

 PS : le bayar d’or est pour le film « chien », que je n’ai pas vu. « chat » aurait été mieux mdr.

 

Ce vendredi, comme mon rhume était moins fort, j’ai décidé d’aller en ville en bus voir au caméo 1 un film d’animation du FIFF, histoire de finir en beauté, et de découvrir le caméo 1, new version. J’allais voir « Nelly et Simon : mission yéti », un dessin animé québecois.

 En allant prendre le bus, je rencontre l’infirmière de nuit de William-Lennox, qui vient de prendre sa pension. Je papote tant avec elle que quand je recommence à marcher, mes jambes sont super ankylosées, je marche comme un canard malade.

 Je monte tant bien que mal dans le bus et je descends à l’arrêt près du Caméo. Bon, il est 11h10 et je vais voir le film à 13h, je suis juuuuuuuuuuuste un peu en avance…

Je vais redécouvrir Wibra, il est 11h25. Je vains redécouvrir Zeeman, il est 11h35. Bon bon, je décide de trainer ma carcasse en rolateur jusqu’Agora, je resterai au rez. Et j’achète le nouvel album du chat (de Geluck), la caissière, que je reconnais car dans ma première vie j’adoooorais rester des heures chez Agora (à l’étage) et regarder les livres. Avent tout ça, il est 12h. J’arrive au Caméo à 12h15, mais on me dit gentiment que la séance où je veux aller est pour le FIFF CAMPU et que toutes les places sont prises. Meeeeeeeeeeeerde. Je peux attendre, s’il reste une place elle sera pour moi. J’abandonne mon idée de cliente VIP et je m’assieds pour attendre, sous les regards compatissants du personnel (ils sont gentils comme tout, ont pitié de moi et prient pour qu’il reste une place).

 A 13h, quand tous les mômes sont entrés, il reste 4 places, l’organisateur est heureux, ça se voit (au moins je ne pleurerais pas de désespoir en hurlant comme Maxime Préveau, enfin comme un veau, ouf), et il me conduit à ma place : dernière rangée, pratique comme tout, ouf.

Le film est génial, marrant comme tout, avec un oiseau à mourir de rire, et des personnages marrants et émouvants, qui plus est doublés en français, mais avec un léger accent québécois, trop joli.

 L’histoire : « Québec, 1956. Les destins de Nelly Maloye, détective privée débutante, et Simon Picard, assistant de recherche en sciences, se croisent accidentellement. Soutenus par un mécène ambitieux, Maloye, intuitive et chaotique, et Picard, méthodique et obsessionnel, se lancent dans une aventure visant à prouver l’existence du Yéti. Pour y arriver, Simon compte sur le journal d’un explorateur pour les mener au repaire de la créature mythique. Accompagnés de Tensing, un jeune guide Sherpa, et de Jasmin, un mainate bavard, ils sont confrontés à de nombreux dangers au cœur de l’Himalaya. »

Après le film, je vais (encore) chez Burger King (je l’appelle sans cesse Giant King, tchu), et je croise Catherine à qui j’avais dit de m’y rejoindre, on passe un super moment, et on mange bien. Leur coca light framboise est un régal, comme leur fanta light framboise. Je reçois une tête de mort fille en cadeau (fille car elle a un nœud rose), diantre.

 Vers 17h20 je reprends un bus, et je rentre chez moi, épuisée comme après un marrant (je voulais dire un marathon), toujours enrhumée, mais je n’ai plus mal à la tête, donc le rhume est en partance, yes. En partance tout comme le FIFF, snif. Je remercie l’équipe pour sa confiance, et les équipes du Caméo et du théâtre qui ont été supers avec moi.

 PS : le bayar d’or est pour le film « chien », que je n’ai pas vu. « chat » aurait été mieux mdr.