Mais que suis-je allé faire dans cette galère où s’égare la sublime et somptueuse CATE BLANCHETT ? Un film au nom imprononçable de THOR RAGNAROCK, blockbuster hollyvoodien, avec prétexte mythologique pour Science Fiction manga. Des salles parisiennes immenses, pleines à craquer d’adulescents pré-pubères de 20 à 35 ans qui s’esbaudissent aux répliques débiles d’acteurs américains, bellâtres improbables. Jean Cocteau disait : « La décadence est la grande minute où une civilisation devient exquise ». Assister au film THOR RAGNAROCK est exquis. JC