D'autres feuillages

Publié le 30 novembre 2017 par Sambuca

A Veneux les très grands arbres se sont décidés à perdre toute trace de vert. Ici un hêtre mais les charmes ont le même aspect :

Charmes et hêtres ont la particularité d’un feuillage marcescent. Mais les grands arbres vont perdre tout leur feuillage, sauf sur quelques branches basses. Mais les jeunes sujets ou ceux maintenus de petite taille par la coupe (charmille…) vont garder leur feuillage rouille tout l’hiver. C’est le cas de mon jeune charme mycorhizé à Romilly :

Un cognassier, Cydonia oblonga ‘Vranja’ :

Mais Cydonia oblonga ‘Krymsk’ est toujours vert.

Le spectacle de Ribes fasciculatum qui durera tout l’hiver commence. Les feuilles prendront une bordure rouge avant de tomber en fin d’hiver sous la poussée des jeunes feuilles.

Les grands érables sycomores ont déjà perdu toutes leurs feuilles. Cela permet de bien voir le nid des pies qui ont complètement annexé mon terrain. A la fin de l’hiver des bagarres très bruyantes ont marqué les affrontements entre pies et corneilles. Ensuite les corneilles ont disparu et les pies se sont montrées tous les jours en été, venant même grappiller les graines de tournesol tombées sous les tours laissées pour les petits oiseaux.

A Veneux les très grands arbres se sont décidés à perdre toute trace de vert. Ici un hêtre mais les charmes ont le même aspect :

Charmes et hêtres ont la particularité d’un feuillage marcescent. Mais les grands arbres vont perdre tout leur feuillage, sauf sur quelques branches basses. Mais les jeunes sujets ou ceux maintenus de petite taille par la coupe (charmille…) vont garder leur feuillage rouille tout l’hiver. C’est le cas de mon jeune charme mycorhizé à Romilly :

Un cognassier, Cydonia oblonga ‘Vranja’ :

Mais Cydonia oblonga ‘Krymsk’ est toujours vert.

Le spectacle de Ribes fasciculatum qui durera tout l’hiver commence. Les feuilles prendront une bordure rouge avant de tomber en fin d’hiver sous la poussée des jeunes feuilles.

Les grands érables sycomores ont déjà perdu toutes leurs feuilles. Cela permet de bien voir le nid des pies qui ont complètement annexé mon terrain. A la fin de l’hiver des bagarres très bruyantes ont marqué les affrontements entre pies et corneilles. Ensuite les corneilles ont disparu et les pies se sont montrées tous les jours en été, venant même grappiller les graines de tournesol tombées sous les tours laissées pour les petits oiseaux.