J’ai nourri les oiseaux tout l’été. Cela est nécessaire quand ils couvent et ont une nichée à nourrir, d’autant plus que dans les villes et les jardins trop bien entretenus ils ont du mal à trouver tout ce qui est nécessaire.
Les nourritures les plus appréciées selon mon expérience, c’est le tournesol, les cacahuètes, les boules et les plaques de graisse. Je n’utilise que le tournesol noir parce que les graines sont plus petites et plus tendres, plus faciles pour certains petits becs. Je m’en suis rendu compte avec les mésanges à longue queue au bec minuscule.
En été les graisses ne sont pas nécessaires, les cacahuètes sont dangereuses s’ils essaient de nourrir leurs oisillons avec des morceaux trop gros. Je ne mets donc que du tournesol, deux tours de deux côtés de la maison. Tout l’été les mésanges, parfois un rouge-gorge ou une sittelle, ont dévoré les graines. Il y avait jusqu’à 5 mésanges sur le groupe de 2 tours. Le 6 août :
Fin novembre j’ai remis de la graisse et des cacahuètes. La nécessité m’en a été montrée par la présence plus fréquente de certains oiseaux et surtout l’apparition du premier étourneau, un signe de froid :
Maintenant ils sont plus nombreux.
La fréquentation du restaurant est intense. J’achète le tournesol par sacs de 15 kg, les cacahuètes par sacs de 10 kg. J’ai même acheté des graines pour tourterelles mais elles s’intéressent davantage au tournesol et aux cacahuètes. Les tourterelles mangent sur la table. Il en arrive une vite suivie par son conjoint, toute l’année elles restent étroitement liées :
Les pies, souvent par deux, aussi mangent sur la table avec une nette préférence pour les cacahuètes :
Les merles préfèrent rester sous la table :
Le rouge-gorge, toujours présent à 1 m du jardinier pour récupérer des vers de terre ne dédaigne pas les graines :
J’ai eu l’énorme plaisir de revoir pour la deuxième année des chardonnerets, ces adorables oiseaux chanteurs décimés par des pièges :
J’ai vu 3 fois un pinson des arbres qui d’habitude ne vient que dans la neige et il n’y a pas eu un seul flocon. J’ai vu aussi un pinson du nord à tête plus sombre sans avoir le temps de le photographier. Ils ne viennent d’habitude qu’en plein hiver quand il fait trop froid au nord.
Quel plaisir aussi de voir un si joli pic mar :
J’ai nourri les oiseaux tout l’été. Cela est nécessaire quand ils couvent et ont une nichée à nourrir, d’autant plus que dans les villes et les jardins trop bien entretenus ils ont du mal à trouver tout ce qui est nécessaire.
Les nourritures les plus appréciées selon mon expérience, c’est le tournesol, les cacahuètes, les boules et les plaques de graisse. Je n’utilise que le tournesol noir parce que les graines sont plus petites et plus tendres, plus faciles pour certains petits becs. Je m’en suis rendu compte avec les mésanges à longue queue au bec minuscule.
En été les graisses ne sont pas nécessaires, les cacahuètes sont dangereuses s’ils essaient de nourrir leurs oisillons avec des morceaux trop gros. Je ne mets donc que du tournesol, deux tours de deux côtés de la maison. Tout l’été les mésanges, parfois un rouge-gorge ou une sittelle, ont dévoré les graines. Il y avait jusqu’à 5 mésanges sur le groupe de 2 tours. Le 6 août :
Fin novembre j’ai remis de la graisse et des cacahuètes. La nécessité m’en a été montrée par la présence plus fréquente de certains oiseaux et surtout l’apparition du premier étourneau, un signe de froid :
Maintenant ils sont plus nombreux.
La fréquentation du restaurant est intense. J’achète le tournesol par sacs de 15 kg, les cacahuètes par sacs de 10 kg. J’ai même acheté des graines pour tourterelles mais elles s’intéressent davantage au tournesol et aux cacahuètes. Les tourterelles mangent sur la table. Il en arrive une vite suivie par son conjoint, toute l’année elles restent étroitement liées :
Les pies, souvent par deux, aussi mangent sur la table avec une nette préférence pour les cacahuètes :
Les merles préfèrent rester sous la table :
Le rouge-gorge, toujours présent à 1 m du jardinier pour récupérer des vers de terre ne dédaigne pas les graines :
J’ai eu l’énorme plaisir de revoir pour la deuxième année des chardonnerets, ces adorables oiseaux chanteurs décimés par des pièges :
J’ai vu 3 fois un pinson des arbres qui d’habitude ne vient que dans la neige et il n’y a pas eu un seul flocon. J’ai vu aussi un pinson du nord à tête plus sombre sans avoir le temps de le photographier. Ils ne viennent d’habitude qu’en plein hiver quand il fait trop froid au nord.
Quel plaisir aussi de voir un si joli pic mar :