La multiplication des camellias a la réputation d’être réservée aux professionnels. Il est vrai que je n‘aurai jamais la patience, ou le temps, de m’occuper comme il faut de la surveillance et des interventions sur une bouture de camellia.
J’avais pourtant tenté, il y a bien longtemps, un semis. A l’époque et pendant des années, seul ‘Adolphe Adusson’ donnait des fruits, de bons gros fruits bien dodus :
J’avais tenté un semis de ce camellia mais ce fut l’échec. Pas étonnant, j’ai appris depuis que ce camellia est stérile. Il fait des fruits mais les graines ne germent jamais. Je n’avais donc aucune chance.
Depuis 2 ans deux autres camellias font des fruits. Mais je ne les avais jamais vus à maturité, défaut d’observation ou chute précoce de ces fruits.
Je ne m’en occupais plus jusqu’à je remarque sur ‘Gloire de Nantes’ un fruit mûr, et même très mûr, le 8 décembre. Gloire de Nantes a la réputation de beaucoup fructifier. Ce fruit ne contenait qu’une graine, une bonne grosse graine bien ronde :
Le 13 décembre je fais le tour de mes camellias et je trouve un autre fruit très mûr, un peu plus petit avec une seule graine, sur ‘Coquetti’ :
Vais-je tenter le semis ? Là, il se pose le problème de la technique. Pour Camellia japonica la plupart des sites indiquent la nécessité, soi-disant impérieuse, de l’exposition au froid, stratification dans le jardin tout l’hiver, mais quelques-uns sèment d’emblée à 20°. Pour Camellia sinensis, le théier, tous le sèment à 20-25°, plus la température est élevée, plus ça germe vite.
Pourquoi cette différence de traitement ? Certes, sinensis est légèrement moins rustique mais la différence n’est pas grande. La plupart des japonica sont considérés comme rustiques à -12 ou -18°. Sinensis est rustique de -12 à -15°.
Pendant ce temps mon minuscule Camellia sasanqua continue à fleurir. Je vous avais montré sa première floraison le 14 novembre. Le 10 décembre il a encore 2 fleurs :
Et le 17 décembre un bouton est prêt à s’ouvrir :
Il me tarde de le voir plus grand, il semble très florifère.
La multiplication des camellias a la réputation d’être réservée aux professionnels. Il est vrai que je n‘aurai jamais la patience, ou le temps, de m’occuper comme il faut de la surveillance et des interventions sur une bouture de camellia.
J’avais pourtant tenté, il y a bien longtemps, un semis. A l’époque et pendant des années, seul ‘Adolphe Adusson’ donnait des fruits, de bons gros fruits bien dodus :
J’avais tenté un semis de ce camellia mais ce fut l’échec. Pas étonnant, j’ai appris depuis que ce camellia est stérile. Il fait des fruits mais les graines ne germent jamais. Je n’avais donc aucune chance.
Depuis 2 ans deux autres camellias font des fruits. Mais je ne les avais jamais vus à maturité, défaut d’observation ou chute précoce de ces fruits.
Je ne m’en occupais plus jusqu’à je remarque sur ‘Gloire de Nantes’ un fruit mûr, et même très mûr, le 8 décembre. Gloire de Nantes a la réputation de beaucoup fructifier. Ce fruit ne contenait qu’une graine, une bonne grosse graine bien ronde :
Le 13 décembre je fais le tour de mes camellias et je trouve un autre fruit très mûr, un peu plus petit avec une seule graine, sur ‘Coquetti’ :
Vais-je tenter le semis ? Là, il se pose le problème de la technique. Pour Camellia japonica la plupart des sites indiquent la nécessité, soi-disant impérieuse, de l’exposition au froid, stratification dans le jardin tout l’hiver, mais quelques-uns sèment d’emblée à 20°. Pour Camellia sinensis, le théier, tous le sèment à 20-25°, plus la température est élevée, plus ça germe vite.
Pourquoi cette différence de traitement ? Certes, sinensis est légèrement moins rustique mais la différence n’est pas grande. La plupart des japonica sont considérés comme rustiques à -12 ou -18°. Sinensis est rustique de -12 à -15°.
Pendant ce temps mon minuscule Camellia sasanqua continue à fleurir. Je vous avais montré sa première floraison le 14 novembre. Le 10 décembre il a encore 2 fleurs :
Et le 17 décembre un bouton est prêt à s’ouvrir :
Il me tarde de le voir plus grand, il semble très florifère.