Rue de l'Adieu (Saintes) -PB
Mais l'heure est aux remerciements. On ne peut mener à bien un tel projet, tenir une telle contrainte d'écriture sur l'année sans le retour de quelques camarades, ceux que je nommais les Alliés dans le #0. Facebook ayant été une chambre d'échos régulière à la publication des articles, likes, commentaires et partages m'ont été une source d'encouragement permanente. En dehors du réseau social, d'autres personnes, d'autres ami(e)s ont bien sûr apporté leur pierre à l'édifice (avec tout ça la liste est longue, à l'américaine, mais j'ai toute la place et l'on n'est pas aux Césars avec des impératifs d'antenne). Allez, hop, générique.
Merci donc à Jean-Claude Moreau pour ses concepts (le seul finalement à avoir quelques articles de sa main dans la série), à Eddy et Christophe Renaud, compagnons de toujours, fers de lance de la tasonnerie mondiale, à Jean-Claude Pardou et Sophie Huguet-Labbaye pour l'île de Ré et bien d'autres soirées fécondes, à Francis Dusserre pour la sorcellerie et Marcelle Bouteiller.
Merci à Rémi Schulz (nos parallèles se sont croisées et n'en finissent plus de se tresser l'une l'autre).
Merci à Fernande Evrard-Bougarel, alias Isidore Bonaventure, maîtresse des arcanes, qui sait ce que synchronicité veut dire.
Merci à ma petite sœur Marie, lectrice ô combien fidèle (quel courage !).
Merci au peintre François Coulaud, un des rares à oser vraiment écrire sur le réseau,
Merci à Frédéric Mur, pour sa sensibilité à fleur d'encre.
Merci à Gaëlle Valade qui aime comme moi si fort Jim Jarmusch (l'homme de l'année pour moi, c'est Paterson).
Merci à Françoise Lhuillier, pour la classe de neige, dans le Jadis.
Merci à mon vieux collègue et copain Luc Bailleul, le premier à avoir commenté le premier article, et qui, devant la figure de l'homme à tête d'attracteur étrange, avait écrit : "On dirait ma tête après les fêtes en train de lire cet article." Ça commençait bien.
Merci à Patou Nette, la fée des hautes terres creusoises.
Merci à Frédéric Desnoyers, grand Mancini, Marseillais de coeur, pour l'humour et le dialogue.
Merci à Stéphanie Ponroy pour Pierre Loti et tant d'autres choses (ma dette est infinie).
Merci à Béatrice Barnes, intrépide Amazone, qui a conquis ma commune natale.
Merci à Sylvie Durbec, pour son attention, Marcel Bascoulard, Soutine et la broderie délicate et subtile de sa poésie.
Merci à Christian Garcin pour Edgar Poe et son passage ici (j'attends avec un soupçon d'impatience son prochain roman).
Merci à Céline Barrière pour Le chardonneret.
Merci à Robin Plackert pour la géographie sacrée.
Toute ma gratitude à Christian Lison (le Fils du Père Léon), Olivier Dumontet, Sy Gallardo, Tomahawk Piper (mon scientifique préféré), Marie-Cécile Gaultier, Michel Thouseau, Carole Le Novère (ma consoeur torticolienne), Nicolas Bureau (ma référence en séries télés), Patricia Gagnerault, Michel Lebrun-Franzaroli, Aurore Segura-Penot, Syl Eti, Sylvaine Viel-Notte et Bertrand Duris (pour Richard Mac Guire, entre autres).
Thanks a lot Caroline Tissier, Emmanuelle Dunand-Chevalier, Léon Fleur, Carole La, Jean-Marie Rodet, Nicolas Robin, Vincent Chatraix, Bernadette Debeaulieu, Patrice Houssin, Séverin Valière, Monique Cognet, Sogre Finon, Marie Bailly, Eric Chartier, Marie-Claire Sand, Vaseline Cuniculus, Frédéric Dupré, Laetitia Bourget, Angélique Moreau, Patrice Carret, Julien Bléron, Michel Duchemin, Yann Denis, Olivier Lécrivain, Josselin Girard, Pauline Bléron, Isabelle Bléron, Corinne Paillaud, Aline Beigneux, Céleste Bailly, Michel de Peyret, Christian Daumas, Décale LeSon, Bastien Grd, Lidwine Blanchard, Edouard Cheramy, Nathalie Gayou, Magaly Langlois, Marion Mayet, Antoine Momot, Francis Rivière, Jean Delavergne (sur FB, vous êtes 70 exactement à avoir laissé ne serait-ce qu'un like, 70, pas mal pour un projet fondé sur le nombre 7).
Спасибо aux robots, algorithmes et autres intelligences artificielles qui m'ont donné parfois l'illusion d'avoir beaucoup de lecteurs.
A tous, une lumineuse année 2018.