Garrulus vient me présenter ses voeux

Publié le 02 janvier 2018 par Sambuca

J’ai depuis des années un couple de geais comme colocataires. Ils nichent tous les ans au ras de la maison dans le lierre qui couvre le tronc d’un grand chêne. Au tout début avril, c’est la période de la drague et des noces :

Et quelques jours plus tard les trajets dans et hors du lierre commencent :

Et c’est le même lieu de nidification tous les ans.

L’hiver je les vois aussi, quand ils cherchent leur nourriture, souvent dans l’herbe :

Pourtant cet hiver je ne l’avais pas encore vu. Manque d’attention de ma part ou bien passe-t-il moins de temps à chercher de quoi se nourrir. Car cette année est une année à glands, il y en a des quantités incroyables sous les deux grands chênes dont celui où il nidifie.

J’ai soudain revu mon Garrulus glandarius le 1er janvier ! Comme s’il venait me présenter ses vœux. Il était à quelques mètres des mangeoires qu’il semblait observer attentivement sans oser en approcher. Il faut dire que les étourneaux étaient bruyants. Les éléments flous au premier plan de la photo, ce sont les soutiens des mangeoires :

Maintenant il va venir régulièrement car, même s’il y a abondance de glands, il ne pourra résister à mes cacahuètes, il en raffole :

J’ai depuis des années un couple de geais comme colocataires. Ils nichent tous les ans au ras de la maison dans le lierre qui couvre le tronc d’un grand chêne. Au tout début avril, c’est la période de la drague et des noces :

Et quelques jours plus tard les trajets dans et hors du lierre commencent :

Et c’est le même lieu de nidification tous les ans.

L’hiver je les vois aussi, quand ils cherchent leur nourriture, souvent dans l’herbe :

Pourtant cet hiver je ne l’avais pas encore vu. Manque d’attention de ma part ou bien passe-t-il moins de temps à chercher de quoi se nourrir. Car cette année est une année à glands, il y en a des quantités incroyables sous les deux grands chênes dont celui où il nidifie.

J’ai soudain revu mon Garrulus glandarius le 1er janvier ! Comme s’il venait me présenter ses vœux. Il était à quelques mètres des mangeoires qu’il semblait observer attentivement sans oser en approcher. Il faut dire que les étourneaux étaient bruyants. Les éléments flous au premier plan de la photo, ce sont les soutiens des mangeoires :

Maintenant il va venir régulièrement car, même s’il y a abondance de glands, il ne pourra résister à mes cacahuètes, il en raffole :